dimanche 4 octobre 2015

L'hétérosexualité c'est de la merde

Penthésilée vaincra ! Je l'ai dit et je le redirai jusqu'à ce que la police débarque chez moi à 6h du mat' pour me punir d'avoir usé librement de la soi-disant liberté d'expression dont se vante 24h/24h cette bréneuse société occidentale de lümpenfiottes moralisantes et bouffeuses de chattes, qui mériterait d'être nettoyée par une armée de salafistes écumants, la Kalach entre les dents...
Cela dit, seul l'amour des yobs est beau, surtout des yobs à peau foncée, c'est les plusse bons. Yo. 


Yes, I kiffe you ! Râh lovely !

Cela fait vingt-cinq ans, vingt-cinq putain d'années noires que je me demande avec une anxiété croissante : qu'ont donc tous ces merveilleux jeunes mâles, au corps si gouleyant, qui s'apparieraient si bien entre eux, à être fascinés comme ça par le moindre cul féminin, ou pire encore, la moindre hideuse poitrine féminine qui passe à l'horizon ; qu'est-ce qui les attire tant chez ces chiennes, plutôt que d'aimer leur beau corps masculin et ceux de leurs congénères ? Aujourd'hui je sais, j'ai enfin trouvé la théorie capable d'expliquer cette regrettable aberration : la Grande Femelle et ses manoeuvres anti-mâles ! La prétendue complémentarité mâle-femelle n'est en fait rien de plus que la complémentarité de la pomme et du ver, de la santé et de la maladie ; la féminité est à la masculinité ce que la maladie est à la santé, c'est tout. Il est urgent de réintroduire la non-mixité scolaire - selon les excellents préceptes de l'islam, mais pas seulement pour décourager l'hétérosexualité, aussi pour encourager l'homosexualité juvénile, voie royale pour Penthésilée - et à imposer des programmes scolaires qui apprennent avant tout aux garçons à aimer leur corps de garçon et à s'aimer entre eux. Ainsi seulement ce monde redeviendra à peu près respirable pour les vrais hommes, c'est-à-dire les penthésiléens.

 
  Allez, éclatez-vous les yobs !

Quelle tristesse et quel gâchis, toute cette bonne et jeune énergie mâle captée invariablement par les femelles, à leur seul profit, toujours elles, les salopes ! Alors que ceux qui ont compris comment les choses fonctionnent vraiment au niveau cosmique, savent que l'énergie mâle atteint son plus haut niveau de perfection lorsqu'elle évolue en circuit fermé, à l'écart des femelles et de la Grande Femelle ! Jeunes mâles, que votre mot d'ordre soit : Fuck Hetero People (FHP) ! On ne le redira jamais assez. Seul l'amour penthésiléen est beau, point final.

 Râh lovely ; t'as de beaux yeux, tu sais ?

D'ailleurs j'ai fait une observation intéressante ces derniers jours : il y a au moins un corps masculin que tout jeune mâle aime et avec lequel il entretient un rapport érotique intense : le sien. Tout garçon aime son sexe, il aime jouer avec sa bite, il la contemple avec attendrissement quand elle est grosse, etc. Il sait que c'est toujours elle, avant tout, qui lui procure du plaisir. Or, s'il est capable d'une telle relation intime avec sa bite, pourquoi pas avec celle des autres ? Si son pénis ne le dégoûte pas, pourquoi celui de son meilleur copain devrait-il le faire ? Encore que le meilleur copain ne soit pas forcément celui qu'on a le plus envie de niquer, c'est à voir, mais enfin, un yob normal, qui aime normalement sa tige, est normalement aussi capable d'en aimer une autre, la mienne tiens par exemple (un simple exemple pris tout à fait au hasard, hein :)). Nan mais c'est clair, lumineux même ; par le rapport érotique que tout mâle entretient avec son propre corps, la possibilité de s'épanouir érotiquement avec d'autres mâles est inscrite en lui, gravée dans sa substance ; l'amour des femelles est une pièce rapportée, un artefact, une ruse de la Grande Femelle. Jeunes mâles, aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés ! C'est alors que la laideur disparaîtra de cet horrible monde qui m'oppresse depuis presque trente ans et qui aura ma peau, mais pas avant que je l'aie infesté de ma sulfureuse propagande et fait trembler sur ses bases, d'horreur et de dégoût. Ouais, bien fait pour sa gueule ! FHP. Je hais les hétéros ; est-ce qu'ils m'aiment, eux ? Est-ce qu'ils ne passent pas leur temps à me rejeter et à me persécuter alors que je ne demandais rien qu'à pouvoir donner un peu d'amour et de tendresse à un yob qui en a besoin ? Alors pourquoi que je devrais les aimer et les respecter ? Y a tellement écrit "victime" sur ma tronche ? Eh bien, plus maintenant. Crevez crevures. Grognez grognasses. Donnez des guns aux enfants dans la rue pour qu'ils butent des adultes. Ce sera toujours ça de gagné. Apprenez-leur à sucer avant de savoir parler. Si tu suces son petit poisson à un yob, il jouira un jour ; si tu lui apprends à pécher, il jouira toute sa vie. Yeah. FHP. L'érotisme entre hommes et yobs, c'est ça le potlatch, le vrai, le seul. Penthésilée vaincra !

Râaaah looovelyyyy !!! Que je vous kiffe trop trop trop trop trop...
Purée, me dites plus que les jigés indiens ils sont pas bandants !


Et cette grosse chiure de branleur de mes couilles d'Alain Soral qui se prend pour un dissident, vraiment, que ça me donne envie de gerber ! Bien sûr, ses analyses politiques sont justes, j'y adhère complètement, mort aux Feujs Hottentots, peuple élu de mes fesses qui empoisonnent le monde depuis 2000 ans avec leur stupide morale vaginolâtre et monogamique (la monogamie c'est vraiment de la merde ; vous me voyez faire une scène de ménage à mon lover boy parce qu'il se tape des filles ou même d'autres mecs ? j'aurais pas l'air con), mort aux Amères loques etc., d'où la légitime réprobation qu'il encourt de la part du divin Système, comme dirait M. Le Pen : il a dit la vérité, il doit être exécuté ! N'empêche, t'es pas un dissident, t'es qu'un moraliste juivisant à la con, Lümpenfiotte ! Passe encore pour son homophobie honteuse de bouffeur de chatte constipé, les gays après tout je les emmerde, mais franchement qu'est-ce qu'il a à critiquer sans cesse les pédophiles penthésiléens ? Crève dans ta merde, salope de mes deux ! On t'a rien fait, on est des damnés de la terre, un peuple opprimé comme les musulmans, et même bien pire qu'eux, alors dépêche-toi de pondre un beau yob, que je vienne le violer et t'éclater la tronche après, voilà ce que tu mérites ! J'encule pas Soral, il est vraiment trop moche, mais je l'emmerde dans les grandes largeurs, et le jour où il aura un fils, lui je l'enculerai, na. Même si je suis d'accord avec la plupart de ses analyses politiques, et vivent les chambres magiques qui ont jamais existé, sieg heil, heil ma queue ! Nan mais vraiment, je te jure, faut être con pour pas voir que les hétéros c'est des fiottes comme les autres ; la différence entre un connard d'hétéro et un connard de gay inverti dégénéré est beaucoup moins grande qu'entre un hétéro et un noble penthésiléen. La (ridicule et puante) mouvance LGBT ne deviendra jamais LGBTP, avec P pour Penthésilée, ça c'est sûr, nan mais vous m'imaginez défiler bras dessus bras dessous avec d'immondes transexuels, eunuques et fiers de l'être ? En revanche, elle pourrait aussi bien se rebaptiser LGBTH avec le H d'hétéro, pour moi tout ça c'est la même racaille et les mêmes raclures. Un homosexuel inverti, qui s'encule entre vieux moches et cons, n'est pas si différent d'un hétéro qu'ils le pensent tous les deux, d'ailleurs ils sont bien d'accord, ces enculés de leur race, pour persécuter les penthésiléens qui les dégoûtent tous également. Car ils ont tous en commun une affinité quelconque avec la Grande Femelle et par là ils communient joyeusement dans la même merde, qu'ils s'enculent entre eux mais qu'ils nous foutent la paix ! Un hétéro est attiré par les femmes, un homo inverti se prend pour une femme, dans tous les cas, l'ombre de la femme est là, la Grande Femelle a gagné. Pourriture. Je ne veux pas de la féminité, ni dans ma vie, ni en moi. Je n'aime pas les femmes et je ne suis pas femme, ni à l'intérieur ni à l'extérieur. Femme, qu'avons-nous de commun ? Rien, disent les penthésiléens. Tout, répondent en choeur bouffeurs de chattes et homos invertis. Même merde. Aimer les gonzesses ou se prendre pour une gonzesse, c'est toujours adorer la Grande Femelle, la modalité ne change rien. Je refuse le féminin dans ma vie, et je le combats en moi. 100% mâle ! C'est ça qui est bon. Mais il faut bien comprendre que le seul moyen d'y arriver, pour un homme, c'est de se tourner vers les jigés ; l'homme qui aime les hommes de son âge se féminise automatiquement, d'où la dégénérescence systématique des gays, qui finissent par ressembler à des sous-femelles de merde - salut mon chou, ça va ? et gnagnagna - donc à tout sauf à de vrais mâles. Et cette grosse sous-merdasse gluante de Bergé, je comprends que l'immonde Soral ne l'aime pas ; ah il a tout compris, lui, feujs et gays même combat, même reniement de la virilité. Ouais, mais franchement, Soral-Bergé, ils pourraient aussi bien se pacser, sur le cadavre de Duvert ils prospèrent comme deux champignons également vénéneux. Pour sortir du cycle infernal : soit tu adores les femmes soit tu deviens une femme - jusqu'à se faire couper la bite et greffer un pseudo-vagin pour certains, et je devrais me sentir solidaire de ça ! crevez crevures - le seul et unique moyen est de se tourner vers les yobs, d'être penthésiléen, point à la ligne. (Euh, ouais, mais assumé, militant, hein, pas comme cette grosse croupissure bourgeoise de Lang, à supposer qu'il soit réellement penthésiléen ; un penthésiléen honteux, c'est pire que deux Soral). Les fils de Penthésilée sont les seuls mâles authentiques, les seuls mâles dignes, les purs. Ce n'est pas une question de préférence, de perversion ou quoi, ça n'a rien à voir ; c'est une question d'adorer la virilité, de garder à l'énergie mâle sa pureté. Il faut pour cela que les hommes se détournent des femelles, mais sans devenir femelles eux-mêmes, et pour cela ils doivent aller vers les jeunes mâles, et pas s'enculer entre vieux débris repoussants. C'est une question d'amour de la virilité et de préservation de sa pureté. Celui qui parle encore de perversion, je viens niquer ses enfants mâles à domicile et je lui éclate la tronche ensuite. Les purs, c'est nous, les hommes, c'est nous, et c'est tout. Regardez Röhm, si Hitler ne l'avait pas désavoué sous la regrettable influence de Himmler (qui était quand même un mec, faut l'avouer, mais bon, il était un peu trop mégalo), il aurait peut-être gagné la guerre, libéré les musulmans (qu'il respectait lui au moins - et du coup aussi les musulmans n'auraient peut-être pas renié leur tradition pour l'imposture salafiste mais c'est un autre sujet) et les penthésiléens (suivant les conseils du bon Röhm) et débarrassé le monde des Hottentots et de leur putride morale. Sieg heil ! FHP et mort aux cons, dans tous les sens du terme.


I kiffe you so !

 Wallâh que tu m'irais bien !

Mon Dieu, faites que Penthésilée l'emporte !
(C'est quand même bandant un yob en prière ; c'est pour ça que je suis croyant  !)

dimanche 27 septembre 2015

Nary nary

 "Nary min gamâlou", Hisham Abbas :


la chanson d'amour par excellence pour moi, avec Yeke Yeke de Mory Kanté, j'adore ces chansons, c'est de l'énergie pure pour moi... L'amour est tellement beau... Je suis fou, oui, mais en cette minute précise, 4h44 du matin, je suis heureux ; je pense à l'Ami ; il est en moi ; je suis déjà au moment de notre prochaine rencontre ; je vais poser ma tête sur sa somptueuse poitrine noire, infiniment plus belle que l'horrible boursouflure du sein féminin, et murmurer un cri d'amour médité pendant mille ans et pourtant d'une spontanéité totale, tant mes sentiments sont intemporels... L'amour... Je ne distingue pas vraiment entre l'amour et le désir, moi... Pas besoin... Al-Jîlî dit que l'Essence divine est Désir ; il distingue neuf degré de l'amour dont le plus haut est le Désir, 'ichq... J'adore cette conception, c'est ça l'islam et pas cette connerie de Daesh de merde... J'aime aussi souvent que je désire... J'aime chaque garçon noir que je croise dans le métro... J'ai vraiment aimé le jeune Albanais, bien qu'il n'était pas si jeune que ça et que je n'aie fait que le sucer une fois, il y a des années, une belle queue ma foi, et aussi ce garçon marocain dont j'ai oublié le nom, que j'ai sucé dans un terrain vague à Marrakech ; j'aurais aimé aller plus loin avec lui, mais tant pis, prend ce que tu peux et tire-toi fils... Et j'ai surtout aimé l'Ami ; il m'a tellement bien consolé de la douleur d'exister dans ce monde enlaidi par les purulents adorateurs du vagin... L'autre jour, tourmenté par la beauté d'un jeune Arabe un peu fiotte mais charmant, dont j'ai surpris la terreur quand il a croisé mon regard de loup affamé, j'en ai appelé à la miséricorde de l'Ami ; comme d'habitude, il m'a compris et réconforté :

"- Tu sais, je devais avoir un sale regard...
- Ah oui, ton regard de sale prédateur...
- Ouais, t'as tout compris..."

J'aime sa façon d'en plaisanter ; dédramatisation... Les paroles de l'Ami sont toujours un poème ; "Bientôt t'auras ton heure de gloire"... Mon heure de gloire... La gloire... C'est comme ça qu'il appelait ça... C'est beau... "Je comprends ton langage"... nous parlons le même langage... L'amour authentique, c'est d'arriver à créer un langage commun, comme les jumeaux ; gémellité symbolique ; symbiose ; on ne peut vivre ça qu'avec un être qu'on est à même d'aimer vraiment ; il n'y a rien à faire... Ce monde débile, merdique, anérotique, anti-sexuel à mort malgré les cris hystériques des ligues de vertus dès que deux personnes s'embrassent, peut me condamner tant qu'il veut, il peut déclarer mon amour criminel par les bouches écumantes d'une légion de cuistres, je suis heureux d'être ce criminel, ce prédateur sans remords, allez vous faire foutre... L'Ami est une force, une énergie pour moi ; avec lui, tant qu'il me soutient, tant qu'il me plaît assez et qu'il veut bien m'abreuver de sa précieuse semence, j'ai la force d'aller jusqu'au bout de l'univers, d'accomplir une oeuvre d'une densité et d'une profondeur sans limites, d'éclater toutes les limites, les miennes et celles du misérable esprit humain englué dans ses fangeuses limitations morales que j'encule sec, jouir et faire jouir est la seule morale sexuelle digne des Maîtres, et je n'ai jamais eu l'ambition d'être un esclave... Ma seule, en tout cas ma principale ambition en ce moment est de sucer des kilomètres de queue noire, j'adore la queue noire, il n'y a rien de plus beau ni de plus réconfortant, voluptueux, divin etc. dans ce monde... La beauté noire... Il n'y a rien de mieux, il n'y en a pas d'autre ; si, la beauté arabe aussi, mais c'est la même chose, c'est l'Afrique ; de toute façon, le noir c'est ce qu'il y a de mieux, ça pulvérise tout... La beauté noire est le calice où je bois l'Infini et la Force divine... La peau noire est lumière... L'Ami, le Jeune Africain, c'est le Verbe ; tous les jeunes Africains sont le Verbe fait chair, je suis Melchisédec, et j'ai vocation à les faire tous défiler dans mon lit en une interminable et démentielle bacchanale qui sera le tourment des âmes bassement morales qui empuantissent ce monde... Le jeune mâle africain, c'est l'énergie cosmique, le réceptacle de la substance divine ; l'étoile du Pôle, le Pôle de la magnificence théologale suprême dont je baise la plus noble extrémité jusqu'à l'ultime usure de ma langue assoiffée de foutre africain... Il n'y a pas de mots pour dire à quel point la fellation entre garçons peut être un acte artistique d'une confondante beauté, lorsqu'il est accompli avec la brûlante ferveur que seuls certains jeunes mâles sont capables de déployer dans quelques rares moments thésaurisés providentiellement sur support magnétique ou numérique afin de les fixer pour l'éternité comme des moments de Grâce que seuls peuvent partager les vrais initiés, capables de ressentir cette transcendante beauté de l'acte charnel accompli entre mâles... Mon Dieu, j'aime le Jeune Africain au-delà de toute expression concevable, comme celui qui sort des griffes de l'Enfer aime la clarté de l'aube et la rosée du matin sur les pétales des convolvulacées - j'aime ces fleurs qui m'évoquent un des plus beaux morceaux de l'anatomie garçonnière - ou comme le saint aime Dieu, comme le rayon aime le soleil, comme... argh, je ne sais pas moi, je sais juste que s'il n'y avait pas le garçon noir, le monde n'aurait aucun sens, la vie serait pire que le pire des cauchemars, mais avec lui, gloire à Dieu, c'est autre chose ; il est certain que la présence potentielle ou actuelle d'un sublime lingam noir entre mes lèvres frémissantes détermine la transmutation de ce cauchemar intolérable en Nirvana hyper-cosmique... La beauté noire me transcende... Je suis son réceptacle épanoui... Pas autant que j'aimerais mais quand même... Dussé-je m'attirer des mégatonnes de tracasseries judiciaires, dussé-je me faire pendre par les testicules, je vais tâcher dans un avenir proche de m'enfiler, oui, des myriades d'éphèbes anthracites divinement proportionnés, je vais dûment racoler tous ceux qui auront la chance de croiser mon chemin, je vais tous les sucer, tu vas voir, ils le méritent, ils vont m'aider à accomplir ma resplendissante destinée, délivrer à l'humanité reconnaissante (on peut rêver) mon message de gloire, d'amour et de vérité... La beauté noire est plus énergétique pour moi que la fusion thermonucléaire... C'est moi qui fusionne à son contact ; je me transcende et me divinise...

L'Idéal ; Une heure au lit avec ça et je veux bien passer mille ans sur le grill
Et ces deux-là, waowh, c'est quand ils veulent ! 

Et même çui-là, je le prends, m'en fous si ça fait plus gay que BL


Mais alors ceux-là ! Je les épouse sur le champ !!!

Celui-là aussi !!!

Et ceux-là itou !


Les garçons c'est trop génial ! C'est ce qu'il y a de mieux sur terre ! Aimer les yobs c'est génial ! C'est un signe d'élection divine ! Je suis heureux d'aimer les jigés ! Chaque jour que Dieu fait, je Le remercie de pas être un con d'hétéro ni un stupide gay adultophile ! Y a qu'un seul amour noble ! Y a qu'une seule voie ! Penthésilée vaincra ! Dieu  garde l'Ami !

Tous ces imbéciles qui s'ébrouent dans des combats d'arrière-garde, pour la démocratie, la monarchie, la justice sociale, le libre-échange, les 35 heures ou le tout-à-l'égout m'énervent ; il n'y a qu'un seul combat, c'est le combat pour Penthésilée ou pour la libération sexuelle du jeune mâle humain, le reste est de la bouillie pour chats ; un homme libre d'emballer et de niquer les yobs qu'il veut n'a à se plaindre de rien, il peut donner un sens à sa vie grâce au sexe, le reste est du bavardage sans intérêt. Les yobs, y a que ça de vrai, point final.

  Je te kiffe trop !!!

Encore de la zik :


de la grosse, grosse merde commerciale, mais des années 90 ; toute ma jeunesse ! En conséquence, je suis capable de l'écouter en boucle pendant des heures. C'est si entraînant. Il y a même un ou deux mecs plus ou moins baisables dans ce clip pourtant très bouffeur de chattes ; par exemple à 0:56, le garçon à droite avec le truc sans manches ; peut-être même le T-shirt rouge, mais on le voit jamais bien ; enfin, s'il en a une très grosse je la veux bien... Bien sûr, je ne peux pas demander au bl de base de comprendre ça, mais moi je suis un hébéphile compliqué de gay pédéraste avec les jeunes blacks de 20 ans ; enfin certains, y a pas vraiment de critère... En général je prends le menu collégiens avec quelques lycéens en accompagnement et une petite sauce de prépubs, mais je peux prendre des jeunes adultes blacks en hors-d'oeuvre si j'ai vraiment la dalle... Les sentiments ça s'explique pas ; mais statistiquement, mon attirance pour les yobs suit quand même une courbe gaussienne centrée à 12-13 (dont la forme évoque assez celle de mon froc quand je croise dans la rue un modèle comme celui de la dernière photo).

I say boom boom boom, now let me hear you say wayoh...

Girl Boy your booty is so round
I just wanna lay you down
Let me take you from behind
I won't cum until it's time
But if I cannot sleep with you
Maybe I could have a taste
Put your niney on my tongue
And your booty on my face

J'adore ces paroles... simple (débile serait plus juste) mais efficace. Un jour je vais essayer de chanter ça à un yob dans le métro pour voir sa réaction... En fait j'aimerais chanter ça à tous les yobs qui m'attirent, ouais ; ça et "nary nary, nary min gamâlou...".

Put your your booty on my face !

Celui-là il est pas black, mais quel canon atomique ! Sérieux, y a-t-il un mâle qui puisse voir ça sans bander comme un âne ? C'est au delà de ce que mon intellect peut concevoir, en tout cas celui-là il est vraiment pas normal ou alors il a des problèmes de circulation !
Dans le même genre "daube commerciale sympa" des années 90 j'aime aussi beaucoup cette chanson-là :


je chantais ça, "do you really want me baby ? let-me know" à mon premier jigé, celui que j'appelle Amine, ça le faisait un peu chier, c'était marrant... quand il me demandait ce que ça voulait dire je lui répondais : "la même chose que nary nary, nary min gamâlou", ce qui était vrai, car dans tous les cas ça voulait dire pour moi : j'ai trop envie de toi, laisse-moi te la mettre au cul. Ah ! Le premier yob, c'est le meilleur... Nan, en fait pour moi c'était le deuxième le meilleur (enfin le troisième si on compte le jeune Albanais mais en général je le compte pas parce que c'était un one shot et une relation tarifée et en plus il était majeur, enfin d'après ce qu'il m'a dit, je lui ai pas demandé ses papiers pour vérifier), mais le premier était quand même vachement bon aussi ; surtout la première fois qu'il m'a demandé un strip-tease masculin et qu'il a dit "ayah quel monstre !" quand j'ai baissé mon froc, et puis qu'il m'a demandé de me branler pour voir, et j'ai dit ok mais déshabille-toi aussi alors, et puis quand j'arrivais à la fin (je veux dire à l'orgasme) j'ai demandé s'il était sûr de vouloir voir jusqu'au bout parce que ça pouvait être traumatisant pour lui (je suis un grand délicat) et il a dit oui, et il a même pas été traumatisé mdr ! C'est des moments qu'on n'oublie pas, sûr... ça valait presque la peine d'attendre vingt ans pour vivre ça... En fait, pendant ma période d'abstinence, je me disais que je passerais à l'acte le jour où j'arriverais à le justifier métaphysiquement et religieusement, mais je pensais pas que j'y arriverais un jour ; et un jour j'y suis arrivé... J'ai fini par trouver une interprétation de la métaphysique traditionnelle qui m'autorise à faire ce dont j'avais toujours rêvé ; c'est surtout le hadith "j'ai vu mon Seigneur sous la forme d'un adolescent imberbe" qui a été le déclencheur, et aussi l'introduction des Illuminations mecquoises où le Plus grand des maîtres rencontre un jeune garçon qui est en fait Allâh et qui lui dit : "lève mon voile (c'est-à-dire mes habits) et lis mes lignes", c'est-à-dire que la connaissance métaphysique, transcendantale etc. était inscrite dans la forme de son corps de garçon, ses proportions divines etc. J'ai compris que moi aussi je pouvais vivre ça concrètement ; et c'est vrai, toute la connaissance cachée est inscrite dans le corps du jigé... J'ai tellement vécu ça avec l'Ami, tu peux pas savoir... C'était un livre vivant, très vivant même... Et lui, la première fois qu'on a joué à ça va ça vient, moi je voulais simplement le sucer ; au dernier moment, il a commencé par flancher, je me suis dit : zut, c'est foutu ; mais après j'ai compris qu'il avait juste peur que son père le sache d'une manière ou d'une autre ; alors je lui ai dit que quoi qu'il se passe dans cette pièce, personne le saurait jamais à part nous, et alors il a changé tout à coup, je l'avais jamais vu comme ça... Moi je voulais juste le sucer, mais lui il a dit : non, on fait tout, alors on s'est déshabillé et il est devenu comme un lion de feu ; il s'agitait tellement que je devais presque le calmer, charmant charmant c'était... Après ça vous me dites qu'un yob peut pas être consentant ? Fils de putes ! On voit que vous étiez pas là ! Heureusement d'ailleurs.
Le plus touchant c'est qu'il m'a remercié après ; oh, ça c'est vraiment l'Ami qu'il me fallait ; et même il a remis ça une heure après... Un texto disant "c'était chouette, on refait ça jeudi ?" J'en ai presque pleuré ; malgré ça je suis censé croire qu'il avait pas vraiment envie... syndrome de Stockholm et blablabla... Crevez crevures... 
Depuis ce temps, je remercie vraiment Allâh de m'avoir fait aimer les yobs, je trouve que c'est vraiment le plus beau cadeau qu'Il m'ait fait ; sauf que tant qu'à faire, Il aurait pu me faire vivre au temps des Celtes ou à l'époque d'Abu Nuwâs, j'aurais été plus dans mon élément, mais d'un autre côté il faut bien que quelqu'un, dans cette époque de merde, défende l'honneur de Penthésilée ; c'est pour ça qu'Il m'a créé, je le sais...
L'amour des yobs me donne une énergie folle, c'est de la bombe thermonucléaire, fff ; si tu es penthésiléen, tu es au sommet de la création, tu domines tout, tu comprends tout, c'est pour toi que l'univers fut créé ; c'est ça la vérité, la voie et la vie ; je suis peut-être (ou pas) le premier à avoir découvert qu'il est possible d'interpréter tous les Livres révélés à la lumière de Penthésilée, et d'en extraire le sens caché dans cette perspective ; quand on admet le postulat que toutes les révélations divines pointent secrètement vers cet amour comme moyen de réalisation suprême, tout devient clair, lumineux, cristallin... C'est un point de vue magnifique, merveilleusement légitime ; on voit tout d'un autre oeil et c'est plus beau... Pourquoi les Chroniques de Tabarî, un des plus grands savants musulmans traditionnels, disent-elles qu'il existe, près de la montagne de Qâf, montagne mythique qui entoure le monde, un peuple parfait, élu, doué d'une longévité exceptionnelle, non adamique et exclusivement masculin ? Ne sont-ce pas les ancêtres des penthésiléens ? S'il n'y a que des mâles chez eux, ils doivent sûrement s'aimer entre mâles ; c'est toujours ce qui arrive quand on met des mâles entre eux, de plus les soufis, initiés musulmans, ont toujours été réputés pour ça. L'exégèse sur le mode allusif mène à la conclusion qu'une humanité supérieure, supra-adamique, a pour signe d'élection l'amour penthésiléen, l'amour intergénérationnel entre mâles. Toute la métaphysique transcendante peut s'interpréter à la lumière de Penthésilée ; je suis en train de développer cette idée dans mon génial roman de 1500 pages consacré à la question, et à la défense et illustration de cet amour. Je devrais d'ailleurs y travailler en ce moment, car plus vite j'en aurai fini avec la théorie plus tôt je pourrai (re)passer aux travaux pratiques, mais depuis trois jours j'arrive pas à m'y mettre parce que j'ai la flemme, au lieu de ça je glande ici et je divague... Tant pis, il faut parfois savoir gaspiller son temps...
L'amour entre mâles - entre jeunes mâles et hommes matures surtout - est la plus belle chose au monde, c'est la vraie pièce dont l'univers est le théâtre, c'est la justification suprême à l'existence de la matière, c'est le Bien, c'est l'aurore... C'est trop génial... La propagande pour l'homosexualité en direction des jeunes, des collégiens surtout, devrait être beaucoup plus agressive, et surtout il faudrait arrêter avec ces ridicules gay pride et autres ringardises du genre qui donnent une mauvaise image aux jeunes. Il faudrait sérieusement réfléchir au moyen d'imprimer dans leur esprit l'idée que l'amour entre mâles c'est super-cool. Ouais, ça ce serait vraiment bien ; celui qui parviendrait à résoudre ce problème aurait vraiment fait quelque chose de bien pour l'humanité ; Allâh serait content de lui et il faudrait lui décerner le Prix Nobel de l'amour, ou plutôt le Prix Abu Nuwâs, c'est moins moisi comme nom. Eh ! Tiens, voilà encore une bonne idée : un Prix Abu Nuwâs qui récompenserait ceux qui ont fait avancer la cause de la propagande pour Penthésilée auprès de jeunes ou fait reculer le fléau de l'hétérosexualité. Reste plus qu'à trouver un milliardaire penthésiléen qui accepte de mettre la main au portefeuille.
Ce soir, je suis heureux ; il y a un yob qui m'aime et je l'aime ; le monde peut s'effondrer, l'Ami restera l'Ami. Tous ces connards peuvent me juger, je les baise grâce à l'Ami. Merci, ô toi que Dieu a doté de toutes les perfections propices à l'amour ; et merci à Dieu qui m'a fait fils de Penthésilée ! Nous vaincrons, mes amis. L'amour des yobs est beau.


Invest in a child ! Haha, ils ne croient pas si bien dire ! 

Tellement charmant !
 
Boy, your booty is so round ! 
Et tes rondeurs sont so craquantes !

J'arrive pas à comprendre ce que tous ces gens ont contre Penthésilée ; c'est un mystère pour moi, ça me dépasse. Il y a des années, un prospectus de propagande débile et vraiment choquant disait : "un enfant n'est pas un partenaire sexuel". Comment peut-on écrire des horreurs pareilles ? Ils doivent tout de même bien se rendre compte que c'est injuste pour ces jigés qui nous désirent à l'ombre de leur totalitarisme anti-sexuel ; ou alors faudrait vraiment penser à leur greffer un cerveau un de ces jours. L'idée d'un contact physique entre corps adultes est si repoussante... Mais entre des corps jeunes, et mâles, c'est charmant, touchant... Comment peut-on y être opposé ? Il faut vraiment être tordu. Je suis environné de tordus qui condamnent la seule forme d'amour vraiment noble, et je sais même pas pourquoi. Qu'ils aillent au diable. Je suis heureux d'être ce que je suis et surtout de pas être un stupide adorateur du trou immonde que les femmes ont entre les guibolles ; mais en revanche je suis très très content d'être un véritable adorateur de ce petit être charmant, exquis, que les yobs ont entre leurs cuisses d'anges. Sucker devrait être un compliment, yeah. C'est ça, jugez-moi tas de bouffons. L'Ami me comprend et j'ai besoin de rien d'autre. Bientôt je vais le prendre dans mes bras in châ Allâh et je vais m'envoler, à des années-lumière au-dessus de votre sordide univers carcéral d'hétéros gérontophiles débiles et déprimants. Les yobs et l'amour des yobs sont la beauté du monde. Le kapé est la plus haute forme d'art. Penthésilée vaincra !

Do you really want me, baby ?
Let-me know !

dimanche 20 septembre 2015

Me ne frego !

Cher lecteur de merde, bienvenue sur mon nouveau blog. Avant tout, sache que je t'encule ; je suis ton pire cauchemar et ce blog n'a pas d'autre but que de te dégoûter de la vie, à moins que tu sois comme moi un fils de Penthésilée - mais qui est Penthésilée ? nous en reparlerons plus tard - bon, en gros, tu as vu le super-canon atomique sur la photo de l'en-tête (putain de merde, quel est le concepteur de mes deux qui a eu l'idée que le titre du blog devait être en plein sur la photo ? et pas moyen de faire autrement, nan mais quelle connerie ! on est vraiment envahis par l'imbécillité, y a des coups de Kalach qui se perdent) ? T'as pas envie, euh... chais pas moi, de lui sucer les tétons, par exemple, genre quoi ? Non ? Alors casse-toi, t'as rien à foutre ici ; ou plutôt nan, reste, j'ai trop envie d'imaginer ta tête quand tu vas lire le reste de cet article délicieusement répugnant - assorti de jolies photos de mirifiques very suckable yobs.


 Love is beautiful
Franchement, je hais cette merdeuse société égalitariste vaginocratique à un point que tu peux même pas imaginer, c'est pour ça que je me suis décidé à faire ce blog qui va sûrement m'attirer pleins d'ennuis avec la police de la pensée. Attentat contre ces chiens galeux de Charlie Hebdo, des milliers de moutons bêlants descendent dans les rues au nom de la "liberté d'expression" ; mais quelle liberté d'expression, putain de bran, alors qu'il y a en France comme partout dans le monde des lois qui interdisent l'expression d'un tas d'idées, concernant la 2e guerre mondiale par exemple, des lois qui te disent quelle version de l'histoire tu dois croire et sanctionnent les historiens qui voudraient faire leur travail ? Qu'ils aillent se faire foutre, eux et leur prétendue liberté d'expression. Et l'évolutionnisme ? Interdit de critiquer cette prétendue "théorie" qui n'est qu'un ramassis d'élucubrations pseudo-scientifiques débiles ; s'il te prend la fantaisie d'enseigner à tes enfants qu'il existe d'autres façons de concevoir l'"apparition" de l'homme sur terre, et que personne n'est tenu de toute façon d'adhérer à une théorie quelle qu'elle soit, tu seras voué aux gémonies, tu passeras pour un mauvais père et ta femme pourra en tirer un argument contre toi lors du divorce ; liberté d'expression, mon cul ! ça n'a jamais existé cette chimère et ça existera jamais, et d'ailleurs je m'en fous moi, je suis comme tout le monde, tout ce qui m'importe c'est la liberté d'exprimer mes idées, pas celles des autres, moi au moins j'ai l'honnêteté de l'avouer, pas comme toi fils de pute. Et Penthésilée ? on a étouffé méthodiquement la parole de ses défenseurs, voués à vivre dans la peur et la clandestinité, relégués dans les bas-fonds juste parce qu'ils ont voulu défendre une conception différente de la vie, de l'amour, de la sexualité, une conception plus pure en fait. Penthésilée n'a plus de vrais défenseurs aujourd'hui à part moi, par vrais défenseurs, j'entends des hommes qui savent s'exprimer et qui osent le faire. En fait, c'est pas vrai ; il y en a plein qui font un excellent boulot, les concepteurs du site "Histoire taboues" (que je te recommande au cas où tu connaîtrais pas) par exemple, mais ils ont peur, ils se terrent dans le "deep web" et je les comprends. Mais avec moi ça va changer, je te le garantis. C'est pas que moi j'ai pas peur ; j'ai très peur au contraire, peur de la terreur que les chiens de ton espèce font régner contre les adeptes et les défenseurs de Penthésilée. Mais d'un autre côté, j'ai pas grand-chose à perdre et puis je suis super-intelligent, alors j'ai décidé d'aller jusqu'au bout dans le combat pour Penthésilée que Dieu m'a ordonné de mener jusqu'au bout, et je te prédis qu'on va entrer dans une nouvelle ère, une ère de libération du verbe, où mes frères pourront recommencer à marcher la tête haute, ne trembleront plus de honte, oseront enfin clamer sur les toits que Penthésilée n'est pas une mauvaise chose, Penthésilée n'est pas un crime, Penthésilée est une source de possibilités merveilleuses, elle ouvre à la jeunesse comme à la maturité des horizons nouveaux, elle leur permet de se connaître et de bâtir quelque chose ensemble, quelque chose de beau, elle est source de bonheur et de plaisir pour tout le monde. Ceux qui la pratiquent sont constamment traités de monstres, jugés, rejetés même par leurs proches, alors que ce sont ceux qui la combattent les monstres, et les monstres ont pris le pouvoir, c'est une conséquence de la vaginocratie, mais ces triomphants sinistres l'auront dans le cul en fait, car ce qu'ils ignorent, c'est qu'on se battra jusqu'au bout et qu'on sera toujours là pour leur pourrir la vie, corrompre leurs mômes, foutre la merde, tant qu'ils ne reconnaîtront pas nos droits, tant qu'ils ne reconnaîtront pas Penthésilée comme une façon d'aimer aussi légitime qu'une autre, et même plus légitime, car plus pure, puisqu'elle n'implique que le mâle. Penthésilée tient à distance l'impure femelle, ténébreuse et prédatrice, en guerre pernicieuse depuis toujours contre le mâle et sa virilité. Penthésilée triomphera ! Penthésilée est l'amour, Penthésilée est la liberté, Penthésilée est l'avenir. Je n'ose pas encore écrire son vrai nom, il y a quand même des limites à l'imprudence, faut que le jeu dure un peu, mais enfin vous avez compris de qui et surtout de quoi je parlais, enfin je suppose, si vous n'êtes pas complètement débiles.

 Râh lovely ! Wallâh qu'il m'irait bien çui-là !

Aujourd'hui, malgré le blablabla universel des bavards et baveux en tout genre, faire l'éloge de Penthésilée en public est à peu près impensable ; on s'indigne, on vous insulte, on vous menace, quoi, salir de jeunes êtres sans défense et évidemment incapables de désir (bien que toutes les études sérieuses disent le contraire, mais le fanatisme anti-Penthésilée ne s'embarrasse pas de ce genre de détails) ! Horresco referens ! Eh bien oui connard, moi je fais l'éloge de Penthésilée parce que je suis plus intelligent que toi et j'ai meilleur goût, et je sais que le désir, chez le mâle notamment, peut se manifester à tout âge, même à six mois pourquoi pas bien que perso je les prenne pas aussi jeunes quand même, et qu'il faut des hommes comme moi dans le monde pour satisfaire ce désir légitime du jeune mâle - même s'il n'est pas encore conscient de ce désir qui est en lui, c'est pas grave, on va se charger de lui en faire prendre conscience, je connais d'excellentes techniques pour ça et je t'emmerde - c'est Dieu qui l'a voulu, et ceux que cette forme d'amour dérange, ceux qui combattent Penthésilée sont des ennemis de Dieu, de la racaille honnie et vomitive, le pus de l'humanité, des untermensch, leur place est dans des camps non en liberté bien qu'ils tiennent le pavé en ce moment. Dites à n'importe qui, dans la rue, que vous êtes un adepte de Penthésilée ou que vous ne voyez pas pourquoi la joie du sexe devrait attendre le nombre des années, vous passerez illico pour un malade mental, un psychopathe, ou le pire des dégénérés, et surtout surtout pour un homme incapable d'empathie, insensible à la douleur ou au bien-être d'autrui, ce qui est vraiment la plus lâche et la plus immonde des accusations qu'on puisse porter contre l'élite de l'humanité, et en fait, c'est bien celle-là qui m'a fait péter les plombs et définitivement dégoûte de ce monde, de ces gens, de toi enculé de lecteur, de lui, de mon propre frère, de tous, parce que vraiment, s'il est bien une chose que Penthésilée m'a révélée, grâce à l'Ami, c'est le bonheur d'une intercompréhension totale, d'être deux âmes partageant même sentiments et mêmes émotions, la joie du plaisir partagé et la vraie complicité intergénérationnelle entre mâles, que des choses positives qui impliquent sensibilité et empathie extrêmes ; en fait, c'est vous qui êtes insensibles et incapables de comprendre un jeune, c'est vous qui haïssez la jeunesse, le plaisir et la vie et votre destruction physique serait une bonne chose pour tous les jeunes et pour cette planète en général. Oui, t'as bien lu crétin, je parle tout simplement de la destruction physique de ceux qui désapprouvent ou qui critiquent Penthésilée au nom d'une chimérique incapacité du jeune mâle à aimer, imbécillité totale et extrêmement choquante moralement, car oui, vraiment, Penthésilée est la chose la plus belle et la plus respectable en ce monde, la justification de ce monde, l'objectif secret de la création de Dieu, Penthésilée est la voie, la vérité et la vie, et si tu penses pas ça, tu mériterais que je vienne chez toi, que je massacre ta femelle et ton chien, et que je viole tes enfants mâles sous tes yeux avant de t'empaler sous les leurs, et si je le faisais, ce qui malheureusement est un peu utopique tout de même car tu es nombreux fils de pute, je te jure que j'aurais la satisfaction d'avoir accompli une bonne action, alhamdoulillah.

Une passe ? Quand tu veux !

Quoi, ça te choque ce que je dis, enfoiré ? Ah ben ça ! T'es plus pour la liberté d'expression tout à coup ? T'es plus "je suis Charlie" ou quoi ? Ah ouais ! La liberté d'expression, c'est chouette quand ça sert à exprimer tes "idées" ou ce qui en tient lieu, tes goûts foireux d'hétéro dévoyant, tes méprisables préjugés de bourgeois occidental acéphale cultivant la prétention de tout savoir et de tout comprendre sans se donner la peine d'écouter quiconque à part ta sale vieille bite, infatigable donneur de leçon farci de certitudes imbéciles qui n'a jamais fait l'effort de remettre quoi que ce soit en question chez lui mais se permet de dire aux autres ce qu'ils doivent penser ou aimer. Mais quand c'est pour exprimer des convictions ou des préférences radicalement différentes des tiennes, et qui pourtant me tiennent à coeur autant que toi les tiennes, là t'es moins chaud, hein trouduc ? Ben ouais, c'est comme ça, en fait la liberté tu t'en torches, ce qui compte c'est juste d'imposer ta manière de voir et tes désirs par tous les moyens, y compris l'invocation unilatérale d'une "liberté" qui n'a jamais existé, qui n'est jamais que la liberté pour toi de vomir sur les autres qui ne t'ont rien fait, à part être différents. Eh bien, tu vois, c'est cette hypocrisie, plus même que l'absence réelle de liberté, qui me sort par les oreilles et qui justifie à mes yeux que je te raye de l'humanité et que je proclame ton sang licite, selon la jolie formule en usage dans l'islam. Et crève dans ta merde, si je peux pas m'en charger moi-même. Et un conseil, mets tes garçons sous clef. Même si vous parvenez à avoir ma peau, Penthésilée veille. Chaque fois qu'un frère tombe, dix autres prennent le relais, on est un hydre à mille têtes, c'est ça qui est bon. Penthésilée vaincra, vous l'aurez tous dans le cul, même si la lutte doit durer jusqu'à la fin des temps, elle durera, on vous lâchera pas ; t'imagines pas les moyens dont on dispose pour contaminer l'esprit de tes enfants ou petits-enfants, tu sais pas lequel sera frappé en premier, vis dans l'angoisse, man, yo, c'est ça qui me fait triper, ton angoisse, on est là, on sera toujours là, on lâchera pas, tu croiras nous avoir éradiqué, un jour un de tes enfants se lèvera, en proie à un désir sauvage et insolite, ému pour la vision charmante d'un de ses camarades sous la douche ou par une pub légèrement subliminale (on est partout) et répondra à l'appel secret de Penthésilée, et ce jour-là tu pourras toujours pleurer moi je me marrerai bien. Car même mort, même crucifié par toi et ta débile morale anti-sexuelle de bazar, je serai vivant dans le coeur de chaque garçon qui s'éveillera en silence à la beauté transcendantale de Penthésilée et rejoindra nos rang, et y en aura toujours, toujours, toujours, car ça fait partie de l'humanité, que tu le veuilles ou non. Et au fond, il y a pas de plus immorale cuistrerie, de plus ignoble prétention contre nature que de refuser, de combattre au nom de raisonnements spécieux et de principes abstraits quelque chose qui fait partie de la substance humaine depuis toujours et à jamais, quelque chose qui s'est manifesté en tout lieu, en tout temps, dans chaque culture et se manifestera toujours. Aujourd'hui, dire "je suis pour Penthésilée", c'est un suicide social, politique, médiatique, professionnel voire un suicide tout court ; pourtant, Penthésilée a toujours existé, existera toujours, elle fait beaucoup moins de mal que l'hétérosexualité et fait beaucoup plus de bien qu'elle, et sa défense est le plus légitime des combats. Quand je dis que je défends Penthésilée, que je la pratique et que j'en ai pas honte, les gens me regardent comme un extra-terrestre, comme quelqu'un qui ferait l'éloge du viol ou de la torture, comme une aberration, ils se demandent comment je peux dire des choses aussi affreuses. Comment peut-on être persan ? Ben ouais, c'est la même question, idiot ; nan, c'est plus débile encore en fait. Penthésilée n'a rien à voir avec le viol et la torture ; chaque jour, des femmes (adultes) sont violées par des hommes, souvent d'ailleurs c'est bien fait pour ces connes tant elles sont moches, connes et nuisibles mais enfin bon, personne n'en tire argument contre l'hétérosexualité, je me demande bien pourquoi. Penthésilée c'est pareil, la plupart du temps ça n'a rien d'un viol ; le Jeune Africain et moi, le moins qu'on puisse dire c'est que c'était pas violent, ou alors violemment réciproque disons, c'était pure réciprocité et c'est ça qui était beau, bien que je doute que ce qui te tient lieu d'esprit puisse entraver cela, en plus, les rares fois ou il y a viol c'est désapprouvé par le gros de notre communauté - car ouais, nous adeptes de Penthésilée sommes une communauté, organisée que ça te plaise ou non et j'espère bien que ça te déplaît - alors vraiment, tes accusation de viol fous-les-toi où je pense, t'es vraiment à la masse, t'es qu'un paumé, un pauvre mec, et j'espère que tes enfants se feront violer bien salement par un vrai pervers, pas un des nôtres, pour t'apprendre à réprimer et contrôler leur sexualité et à leur interdire d'aimer un type comme moi qui a rien d'un violeur, un noble penthésiléen.

Râââh lovelyyy ! Black is beautiful

 Oh, c'est choquant ce que je dis, encore ? C'est ça, plains-toi sale merdeux, ouin, snif, bouh, m'sieur l'agent, y a un méchant là-bas qui use de sa liberté d'expression pour dire ce qu'il pense, et y m'a même pas demandé la permission pour penser, vous vous rendez compte ? Arrêtez-le, m'sieur, mettez-le en prison, bien fait pour sa gueule ! Ouais, c'est ça, viens, arrête-moi, mets-moi en prison, tue-moi, démolis-moi, j'en ai rien à branler, de toute façon vous avez déjà démoli ma vie, tas d'enculés, en m'empêchant d'aimer qui je voulais comme je voulais surtout au moment de la puberté où j'étais le plus chaud, vous m'avez détruit alors en instillant en moi l'idée que j'étais trop jeune pour aimer, ma vie a été gâchée à cause de ça et de l'idée encore plus nulle que l'amour des personnes de son sexe était une chose ridicule, pas "cool" (terrible instrument de conformisme que le concept de "cool"), du coup ce qui est bien c'est que j'en ai plus rien à foutre de ce qui arrive et par conséquent j'ai les mains libres, et la tête, et la langue, et le cul, et de toute façon, je te l'ai dit sale fils de chienne, on est une hydre a mille tête, coupes-en une et dix, cent repousseront, et parmi tes propres enfants, t'inquiète, t'inquiète, y en aura toujours, t'inquiète, c'est Dieu qui l'a voulu, le vrai secret c'est que Dieu aime Penthésilée car cet amour, seul, est véritablement divin. Un mâle adulte digne de ce nom ne peut pas aimer vraiment la féminité, si ce n'est ce chouia de féminité si charmant et si troublant qu'on trouve dans le jeune mâle. C'est l'hétérosexualité, amour des hideuses et perfides femelles qui est la honte des mâles, un fléau pour leur virilité, et l'homosexualité moderne, ces vieux cons qui s'enculent entre eux, ne vaut guère mieux car en fait elle est calquée sur l'hétérosexualité, elle est pas essentiellement différente, elle repose sur la féminisation du mâle adulte, domination féminine toujours donc. Alors qu'est-ce qu'il reste ? Penthésilée, seule forme d'amour réellement digne d'un vrai mâle ; allez, si t'as en toi une usine de testostérone, tu l'as forcément déjà ressenti ce désir mystérieux et fou ; alors viens, lève-toi et marche, marche vers Penthésilée, rejoins nos rangs, rejoins le côté obscur de la force. T'es pas prêt, tu le sens pas, t'aimes pas ce que je te dis ? Allez, va sucer un jeune yob, un joli dodécagénaire, là tu comprendras ce que c'est la vie. Ou alors tu mérites même pas de respirer, dans la société future dont nous préparons l'avènement t'auras peut-être le droit de survivre dans un camp de reproduction si on a besoin de ta semence, tu boufferas du foin et tu coucheras dans ta crotte, ouais j'en serai bien content, et tiens même qu'un jour j'espère que je pourrai enculer un yob avec du lubrifiant à base de graisse d'hétéro, ouais ça se serait marrant. Mais bon, c'est de l'utopie évidemment, je me fais pas d'illusion. Bah ça empêche pas de continuer le combat, vous l'aurez dans le cul de toute façon c'est ça qui compte. En ce moment même, quelque part dans le monde, il y a un mâle qui nique un yob, c'est peut-être même ton would, réconfortante pensée. Tiens, au fait, chais pas si t'as remarqué... le vivre ensemble, la diversité, c'est pas trop mon truc mdr.

 My sweetest choice !

Tu savais pas qu'islam, fascisme et pédérastie ça faisait très bon ménage ? Ben ouais, c'est comme ça. Depuis quand, demanderas-tu avec cette crétinerie abyssale qui te caractérise ? Ben, depuis bien avant que ta pouffiasse de reum ait pondu la raclure anti-Penthésilée qui me vomit en ce moment ! Cette question ! Ben ouais, évidemment, je vais t'expliquer, ce que personne avant moi a eu les couilles de t'expliquer, parce que je suis aujourd'hui le seul mâle sur cette putain de planète à avoir le cerveau équipé d'une paire de couilles et pas seulement la bite, car la virilité ça doit être dans la tête aussi sinon ça sert à rien : donc, voilà l'affaire, l'islam c'est la liberté, c'est la seule culture authentique de la liberté, parce qu'un certain Ghazâlî a dit "le coeur des hommes libres est le tombeau des secrets", c'est-à-dire que dans cette culture, l'idée de maîtrise des secrets est liée à l'idée de liberté métaphysique qui est la plus noble idée métaphysique, c'est-à-dire que l'homme musulman est censé être un homme vraiment libre, libéré de la peur et des contingences en somme, pas une bête de troupeau quoi, pas un occidental moderne, bien qu'il soit souvent cela en pratique mais c'est pas ça qui compte ; l'islam vise à la liberté. Le fascisme fut le seul mouvement politique authentiquement libérateur que l'Europe ait connue ; ça devise, comme tu sais, ou ne sait pas si t'es encore plus con que je l'imagine, était "me ne frego", "je m'en fous", excellente devise pour un homme libre justement ; d'ailleurs les fascistes, les nazis aussi, avaient de la sympathie pour l'islam, on les comprend, comme Nietzsche qui était un de leurs inspirateurs, et Nietzsche, en vrai philosophe qu'il était, défendait aussi Penthésilée, ce qui est naturel. Ben oui, faut t'habituer à penser que les vrais grands esprit ont tous défendu Penthésilée car c'est une chose noble et respectable, même si on t'a lavé le cerveau pour que tu puisses pas entraver ça. Enfin, naturellement, même si l'islam officiellement est contre à cause notamment de l'influence des juifs qui dès l'origine s'est infiltrée en lui, est tout de même traversé par un profond courant symbolique qui indique aux esprits éveillés le chemin de la vérité, le chemin de Penthésilée. Par exemple, Abu Nuwâs, le plus grand poète musulman, un initié  très certainement aussi, un des grands hommes de l'islam, était notoirement un amateur de yobs, un niqueur de jigés (j.g.), un penthésiléen de première. Cela dit tout ; je pourrais bien sûr accumuler les indications de cette sorte, je le ferai probablement, mais pour l'instant celle-là suffit. Au fait, tu sais, quand je parle d'islam, je fais toujours référence à l'islam soufi, c'est-à-dire ésotérique, le seul qui vaille le coup, le reste je m'en fous, c'est pas ma tasse de thé. Toute culture vaut par sa part ésotérique uniquement ; ceci dit pour dissiper tout malentendu. Je suis pas salafiste, je hais cette merde de "Daesh", je défends pas cet islam-là qui est purement occidental, pour moi, d'ailleurs. Le soufisme, c'est tout autre chose, c'est la métaphysique, la gnose, l'intellect pur, c'est ça que j'aime. Or, le garçon, c'est une figure de l'Intellect, voilà pourquoi l'homme divin, réalisé, doit aimer le garçon et respecter Penthésilée par conséquent. Donc ouais, pour moi évidemment islam, fascisme et Penthésilée font très bon ménage, prétendre le contraire est une insanité, je comprends même pas que ça existe sincèrement, et franchement, je serais assez pour l'assassinat des dubitatifs. Gore et sanglant de préférence, à la "the hitcher", yeah ! Mais qu'ils pondent quelques yobs d'abord, on pourra les récupérer et les dresser façon geishas mâles, ce sera plus marrant.


Incompatible avec l'islam, sans blague ?

Je vois que ces conceptions t'étonnent quelque peu, pour dire les choses euphémiquement. J'aurai l'occasion de les développer inchâ Allâh si je suis pas assassiné - au propre ou au figuré - avant. Ce sera passionnant, tu verras, parce que je suis pas juste un provocateur moi, mais un vrai penseur, et surtout un vrai lover, et j'espère que l'étalage de mon vice ostentatoirement assumé te pourrira bien l'existence. En attendant, tremble, et mets tes yobs à l'abri man, Penthésilée te guette.

 Soooo cute, râh lovely !

Je suis pas gentil, nan ; je suis pas cool, je suis pas patient, j'ai la rage, oui, c'est vrai. J'ai compris depuis longtemps que le dialogue servait à rien, y a pas de dialogue possible, essaie d'être gentil, de montrer patte blanche, tu l'auras dans le cul avec "eux". Leur dégueulasserie n'a pas de limites. On te juge pas, on te comprends, on est tes amis, on va t'aider, c'est ce qu'ils disent tous, tu parles ! Ils rateront pas une occasion de t'humilier, de te trucider dans le dos, l'idée que tu puisses ne pas trembler de honte et de culpabilité d'être ce que tu es, de désirer ce que tu désires, ça les fait vomir ; tu les fais vomir, rien à faire, ils te font vomir aussi, l'hypocrisie ici sert à rien sauf à perdre du temps ; droit au but, le crois au terrorisme, intellectuel et autre, donnez-moi une bombe fff - les meilleures, yo ! - j'irai la faire péter dans la première association anti-pédophile venue, qu'ils crèvent tous ces rats, je les emmerde, Penthésilée les emmerde, j'encule leurs yobs, je me les envoie en brochette, c'est comme ça que la vie est belle, pas autrement. Je suis méchant, violent, j'ai la haine, moi qui étais doux comme un agneau à l'origine, oui c'est comme ça mais bon, faut comprendre avant de juger, c'est pas moi, on m'a détruit, je suis qu'une ruine, ma révolte est tout ce qui me reste. Parlez-moi de yobs traumatisés, je sors mon revolver ; je sais ce que c'est, moi, d'être traumatisé ; ils m'ont vraiment traumatisé avec leur morale de merde, leurs tabous à la con juste pour gâcher la vie, puta madre ! Mes premiers amours, gâchés, une blessure qui ne se refermera jamais, un trauma que tu peux pas imaginer, je peux pas pardonner ça, c'est normal que je puisse pas tolérer l'idée que d'autres yobs vivent le même enfer, et qui plus est, au nom de la protection de la jeunesse, immense foutage de gueule qui rend leur indécence plus obscène encore ! Mes premiers amours ? J'avais douze ans, treize ans... amoureux, le mot est faible, même si j'osais pas l'utiliser à l'époque ; raide dingue, oui, j'étais ; de deux yobs exquis au moins : mon cousin, 3 ans plus jeune environ, blond comme moi, à moitié juif, circoncis, déluré ; l'autre, pire encore, un copain de classe, même âge que moi, plus grand, très grand, et noir, très noir, africain, sportif, viril, superbe, et doux comme un ange - le diable blond et l'ange noir. Il y en avait d'autres, beaucoup d'autres ; il y en eut d'autres par la suite... mais ces deux-là ça restera toujours le summum, l'idéal, le symbole même de ma souffrance, de la torture mentale, morale, que cette société jeunophobe et sexophobe m'a imposée gratuitement, pour le plaisir de me voir souffrir. La protection de la jeunesse n'y est pour rien, c'est de la merde de dire ça, de la merde et du foutage de gueule intégral, et en plus je soupçonne que tout le monde le sait mais fait semblant de ne pas comprendre pour mieux me faire chier. Je crois même pas à leur bonne fois. Je sais même plus par quels chemins tortueux, vicieux, ils avaient réussi à constituer dans mon esprit trop jeune pour relativiser, évidemment, l'idée fatale que j'étais trop jeune pour aimer, trop jeune pour dire à ces deux garçons ce que j'éprouvais pour eux, trop jeune pour vivre avec eux une histoire qui aurait pu me rendre heureux et m'épargner une vie de frustration et de souffrance, et qu'en plus aimer les yobs quand on est un yob c'est nul, ça se fait pas, etc. Quelle connerie ! Enfin bref ; j'ai jamais pu déclarer ma flamme à ces deux jigés, le second surtout, je me suis tenu "volontairement" à l'écart du coup, c'est à peine si j'osais lui dire bonjour, j'ai même pas vu sa bite une seule fois, quelle misère ! Putain, si j'avais su que ça me hanterait toute ma chienne de vie, j'aurais peut-être été moins timide, mais enfin le temps que je me rende compte de la cruauté perverse de tous ces adultes de merde qui me conditionnaient subtilement à penser qu'une vie sexuelle normale c'était attendre d'avoir vingt-cinq ans pour sortir avec des pétasses blondes bourrées d'égalité des sexes et d'émancipation féminine, puuuutaaain ! c'était trop tard, trop tard, le mal était fait depuis longtemps ! Si j'avais pu comprendre, à cet époque-là, que c'était normal pour un garçon d'aimer les garçons, et que j'avais le droit à 12-13 d'avoir des désirs et de les vivres ; c'est à cette époque-là que j'aurais dû me servir de ma bite, et l'éducation aurait dû m'y encourager au lieu de m'en décourager, j'aurais pu échapper à cette destruction, mais non ; je sais que ça me hantera toute ma vie, le spectre de ces amours manqués, dussé-je me taper des kilomètres de yobs ; et tout ça au nom de la protection de la jeunesse contre les dangers de la sexualité, merci pour ma jeunesse ! De quoi vous plaignez-vous, enculés ? C'est votre morale soi-disant protectrice qui est responsable de ma destruction et du fait que j'ai jamais pu grandir et mes désirs non plus, alors maintenant, assumez au moins vos fautes, et laissez-moi rattraper ce qui peut l'être en niquant tous les yobs que je pourrai niquer, vous me devez ça, ce n'est qu'une juste réparation, sinon vous méritez vraiment pire que le bazooka que je vais vous enfoncer dans le cul et presser la détente. 


 
  Wooga wooga ! 
Une partie de ça va ça vient avec mwâ ? 

Toute façon, je m'en fous, je vous déteste et c'est tout. Tant mieux que ça vous plaise pas mon amour des yobs, tant mieux que vous détestiez Penthésilée, comme ça j'ai une raison de vous haïr et de vous combattre ; chaque fois que je nique un jigé, c'est vous tous que je nique en même temps, et c'est ça qui est vraiment bon. Le jigé, lui, est toujours consentant, parce que sinon ça m'intéresse pas, moi quand je nique j'aime bien entendre "oh, oui, c'est bon, encore", des trucs du genre et pas "ouin, arrête, siteuplaît", c'est plus sympa et plus gratifiant, vous pouvez comprendre ça quand même, si cons que vous soyez ; donc quand c'est moi qui nique, le jigé est toujours consentant, mais vous pas, et ça c'est vraiment bon, parce que comme ça j'ai les joies du viol sans les inconvénients. La joie, c'est de nuire à des connards, les inconvénients que j'ai pas c'est de prendre du plaisir sans en donner, car pour moi c'est donner du plaisir qui est vraiment important, plus que d'en prendre, et les yobs, croyez-moi (façon de parler je sais que vous êtes incapables de croire quelqu'un qui dit la vérité), ils savent prendre du plaisir, en tout cas ceux à qui j'ai eu affaire. Vous, ô grands protecteurs de l'enfance, vous avez détruit la mienne, et vous m'avez détruit, au nom de votre ridicule et odieuse prétention protectrice ; les garçons, eux, m'ont sauvé, m'ont aimé et m'ont libéré, je les accueille en mon coeur comme des messies, des héros, des libérateurs ; je leur dois la vie, du jour où ils ont eu le courage de transgresser vos immondes tabous castrateurs, où nous les avons transgressées ensemble plutôt. Depuis, je sais à quel point ce qui vous motive réellement est la peur et la haine envieuse de la jeunesse, de la jeunesse vivante et aimante, la rage de l'empêcher de désirer et de jouir. Heureusement, je peux vous prédire avec certitude que vous l'aurez dans le cul, parce qu'en fait sans le savoir vous l'avez déjà dans le cul, le mal, tout le mal est fait, c'est-à-dire le bien puisque chez vous tout est inversé l'amour s'appelle la haine l'esclavage la liberté et vice-versa, je suis déjà vengé, grâce à l'Ami ; il m'a aimé, on a joui l'un de l'autre sur vos faces cadavéreuses, et depuis, votre ignominie est patente, votre prétention de faire le bonheur des jeunes contre eux et contre leur désir a révélé au grand jour sa purulente hypocrisie  haineuse. Crevez crevures. Penthésilée vaincra ! 

Râowh, my God ! You make me crazy, boy ! I love you, I want you, I suck you, quand tu veux où tu veux, putain de putain il m'en faut un comme ça, il m'en faut un comme ça, il m'en faut un comme çaaaa !!!!

Wow ! L'idéal de chez idéal ! Il est made in Paradise celui-là ?! Dis-donc, mec, tu vois un yob pareil, ça te donne pas des idées toi ? Genre le sucer matin midi et soir jusqu'à perpét', te pacser avec sa queue, t'en envoyer deux en sandwich, un devant et un derrière, chais pas moi, chuis à court d'idée, mais bon, t'as compris, nan allez sérieux, me dit pas que ça bande pas un peu quand tu vois ça ? Sinon ben désolé, t'es vraiment trop zarbi comme mec, c'est pas possible tu me donnes à choisir entre ça et mille années en enfer, ou une miss monde plus le paradis, j'hésite même pas, je choisis l'étalon noir, tiens j'ai l'estomac dans l'étalon, ça doit être du caviar blanc qui sort de sa queue à çui-là ; nan mais laisse tomber, c'est carrément le caviar des garçons, nan, de l'humanité, filez-moi son adresse, même s'il habite sur la lune, je braquerai une navette de la nasa, jm'en fous, il m'en faut un pareil. Putain ! je rêve, qu'il y a des mecs capables de préférer une meuf à ça ! Faut carrément être... prix Nobel du mauvais goût, masochiste, schizophrène, n'importe quoi, allez ! C'est pas possible, j'y crois pas ; tu peux pas hésiter entre une meuf et ça, aucune femelle peut faire le poids face à un tel Everest de beauté mâle et jeune... Nan... les hétéros sont des barjos finis, des dégénérés, y'a pas, laisse béton...
Bon, t'as compris comment je fonctionne, man. C'est mon cercle de Popilius ; impossible... impossible de comprendre... les choses sont trop claires pour moi... la beauté, c'est ça : le jeune mâle, le jeune mâle black, y en a pas d'autre... Pour moi une telle beauté éclipse infiniment toute manifestation de la féminité, y a rien à faire, on a pas le droit d'hésiter, le désir est la seule réaction normale, le consommer est la seule chose à faire.
Franchement, je vais arrêter de faire comme si je trouvais normal qu'un mâle puisse penser autrement, car c'est pas permis en fait. Je suis désolé. En fait nan, je le suis pas, je vous encule c'est tout. Donc, je suis pas désolé, mais un garçon de... disons 15 ans qui ne s'est jamais fait enculer, ou au minimum sucer, n'est pas normal, c'est tout et c'est tout. Ouais ; ça devrait être une évidence. Je devrais même pas avoir à le dire. J'ai honte de penser que ce fut mon cas et que ça risque d'être celui de mes infortunés fils, que j'ai dû abandonner dans les griffes de leur mère, pauvres garçons - puisque j'ai eu la sottise de procréer avant de me rendre compte que les mâles, y a que ça de vrai, que ça de baisable, que ça qui justifie l'existence, je veux dire un jeune mâle zébron comme sur l'illustration ci-dessus. Même celui-là d'ailleurs je parie qu'il a jamais pris dans le uc', quelle tristesse ! quelle honte de vivre dans un monde pareil. Ouais, franchement, j'ai honte. L'éducation, quelle merde immonde : la première chose qu'on devrait enseigner aux jeunes mâles, surtout à un canon atomique pareil, c'est que leur cul est une auberge, c'est qu'ils sont là pour donner du plaisir, de la joie, de l'énergie aux hommes méritants comme moi ; l'éducation devrait être gouvernée par Penthésilée, voilà ce qui serait juste, noble et en plus vachement plus marrant que toutes les conneries dont cette dérisoire modernité abrutit l'esprit des jeunes. La sodomie, active et passive hein, question d'équité (ceux à qui un yob de treize ans à un jour dit : "tu veux que je te la mette par derrière" me comprennent), devrait être aux programmes de l'enseignement dès l'école primaire, à la place des cours de morale tiens, on s'en branle sérieusement d'aider les vieilles biques à traverser la rue, ce qu'il faudrait leur apprendre c'est comment aider ma trique à traverser leur rondelle, c'est ça que les yobs ont besoin de savoir, merde ! 
Et puis zut, je suis trop énervé par votre stupidité congénitale et débandative ; je reprendrai cet article plus tard inchâ Allâh (yo mec, sunna !). Je vais aller me branler devant la photo, tiens, ça me calmera les nerfs. Hasta la vista, sac à merde !

   Mais ouais, vous aussi je vous kiffe trop, kiss men !

Ouf, ça va mieux ; rien de tel qu'une bonne décharge d'endorphine, y a que ça de vrai. Avant, je marchais aux opiacés, héroïne, méthadone... J'ai arrêté à peu près quand j'ai rencontré le Jeune Africain, en partie parce que ça m'empêchait de bander, et ça c'est plutôt emmerdant quand tu te retrouves au pieu avec un super canon nucléaire black hyper chaud, enfin bon, depuis je roule plus qu'à l'endorphine, ça nous sort pas vraiment des alcaloïdes morphiniques mais c'est plus sain et plus nature. Eh merde, on va pas causer de ça toute la nuit. Bordel, que je suis en colère ; ouais, décidément, j'ai pris la rage. J'y peux rien, je suis un bloc de haine, une mégatonne de haine, de tristesse, de dégoût, une imprécation ambulante. Pourtant ça me ressemble pas, c'est pas moi. Fondamentalement, j'aime l'humanité moi, l'humain est ce qu'il y a de plus beau, l'humain est divin, l'humain est Dieu, le mâle surtout, le jeune mâle est ce qu'il y a de plus merveilleux, quelle que soit sa couleur, sa culture, sa religion, il y a de la beauté et de la lumière même au fin fond du quartier le plus pourri de la ville la plus sinistre ; dans chaque bidonville crasseux, dans chaque villa de bourge immonde, il y a un garçon et partout où il y a un garçon il y a de l'espérance, de la lumière, de la beauté et c'est ça qui est bon. C'est l'amour qui me fait vivre, j'aurais toute les raisons du monde d'être positif, pourquoi tant de colère, pourquoi me répandre en malédictions à la moindre occasion ? Parce que c'est tout ce qu'on m'a laissé, connard ; c'est tout ce que vous m'avez laissé. Du moins, il devrait en être ainsi, si votre monde fonctionnait aussi bien qu'il le croit. Heureusement, il reste encore un peu de lumière, le Jeune Africain, il y a quelque chose de vrai entre nous malgré tout, malgré vous. Toute la bêtise et la malveillance hargneuse de votre monde ne peut pas nous séparer - in châ Allâh - on reste unis, ouais, mais n'empêche, tous mes amis "normaux", entendez hétéros, m'ont lâché à cause de ça à part un ou deux, les psychotiques ou les allumés comme par hasard, bref des gens "différents" de toute façon. Et encore, ils me tolèrent, je suis pas sûr qu'ils me comprennent, ce monde aura tout fait pour nous diviser et j'ai quasi plus d'amis, à  part l'Ami, toujours fidèle au poste lui. Des êtres que j'avais tant aimé, passionnément aimé, m'ont salement lâché, littéralement vomi, rendu comme un lavement à ma solitude existentielle. C'est dur. Mais ça c'est rien. L'interdiction d'aimer, l'interdiction d'être aimé, l'interdiction d'espérer quoi que ce soit en ce monde à part la solitude, l'exclusion du genre humain, le devoir de me considérer moi-même comme un monstre, de m'assimiler à ce qu'il y a de plus vil dans l'humanité et de plus loin de ce que je suis vraiment - un enculé de psy m'a un jour comparé à une de ses patientes que son frère attachait au radiateur pour la violer ; enfin, moi j'étais comparé au frère, et l'Ami serait la soeur, attaché au radiateur et violé par votre serviteur... vous imaginez ? Lui, l'Ami, l'Idéal ; attaché par moi au radiateur ? Mais attention, ça ça représente pas seulement ce que cet enfoiré de psy de mes deux pense de moi, à la limite ça j'en aurais rien à foutre, nan, c'est ce que je suis censé penser de moi-même, rongé de culpabilité et de remords pour les seuls rares moments de bonheur que j'ai eus partagés dans ma vie... T'es censé en permanence te rabaisser toi-même, te considérer comme une merde, et sinon on t'es encore plus considéré comme une merde, et on te le jouera avec encore plus de gravité sentencieuse, jusqu'à ce que tu acceptes cette auto-mortification perpétuelle sur fonds de frustration ontologique pendant que Messieurs les Hétéros bouffent des montagnes de chattes sous ton nez et se foutent de toi, alors cette archi-bréneuse société te fera peut-être une place au titre de pervers méritant, sclérosé par la honte comme il se doit, battant courageusement sa coulpe d'être ce qu'il est ; alors que tu sais, oh ! oui, tu sais au fond de toi-même qu'il leur suffirait d'un infime effort intellectuel pour que tout devienne possible, que tu puisses donner et recevoir du bonheur, donner surtout, donner oui c'est tout ce que je demandais. On te refuse la possibilité de donner, au nom de quoi ? au nom de rien du tout, d'arguments, de théories qui relèvent du néant le plus absolu, et dont le fond du fond, de plus en plus, me semble être une volonté sadique et acharnée de faire souffrir, et la mauvaise conscience de l'hétéro adultophile qui sait au fond de lui-même qu'il n'est que l'esclave putride de la Grande Femelle satanique... La possibilité de donner, alors que tu sais que tu pourrais, que tu peux ; c'est ça oui, c'est ça le plus dur, le plus inhumain, le plus satanique, le plus insupportable, c'est ça le crucifiement ; je suis crucifié de ne pouvoir donner, non parce que c'est impossible en soi, mais parce que vous tous, vous avez décrété que ça devait l'être, que ça l'était, et donc ça l'est, mais à cause de vous, tas de brutes pernicieuses... C'est trop, non, je peux pas supporter... J'ai déjà trop supporté... excusé... compris... je refuse de comprendre davantage, je vous emmerde, le droit de haïr, c'est tout ce qui me reste  puisqu'on m'a volé celui d'aimer, alors allez au diable et qu'il vous encule bien profond et à dix mille degrés Celsius. J'avais que de l'amour en moi ; j'étais doux comme un agneau, vrai, un homme-femme, c'est comme ça qu'une de mes profs, très féministe, me qualifiait quand j'avais quatorze ans, j'étais un gamin bizarre et lunatique dont le passe-temps préféré était de faire les brocantes, toujours à la recherche du bibelot rare et charmant, comme aujourd'hui du garçon rare et charmant, c'était le même enivrement esthétique déjà, précieux et raffiné ; oui, j'étais un être terriblement délicat, fragile, hypersensible ; vous imaginez ce que j'ai dû en baver pour devenir la bête enragée que je suis ? Nan, vous n'imaginez pas, vous pourriez pas. J'ai été programmé pour vous haïr, vous mépriser et pour danser de joie quand un de vos gamins se fait violer et découper par un prédateur sans humanité, et qui m'a programmé ainsi ? Vous, têtes de noeuds ! Vous l'avez fait exprès, et vous pouvez pas savoir comment que je vous hais de m'avoir obligé à vous haïr ainsi, alors que j'étais taillé pour aimer uniquement... Mais vous avez voulu la guerre, tant pis, vous l'aurez, j'espère qu'elle vous plaira. Donc, je vous baise, vous et vos yobs merdeux et acéphales hétéro-conditionnés comme vous depuis la maternelle, je vous baise vous et eux à un point que tu aurais du mal à te représenter, sale enculé d'hétéro envieux, haineux et patibulaire. Les bouffeurs de chattes croient dur comme fer que Dieu les préfère aux suceurs de queues, surtout de jeunes queues. Est-ce risible, mon Dieu. Un tel monde doit vraiment crever, il est urgent qu'on lui fasse la peau, je déclare ouverte la chasse aux adultophiles. Mes frères penthésiléens, sortez vos armes bactériologiques, vos grenades à l'uranium appauvri et vos chambres à gaz, on va les génocider ad majorem Dei gloriam, c'est exactement ce qu'ils méritent. Hitler avait mille fois raison, "c'était un brave" comme disait mon ancien patron black et antisémite, sauf qu'il s'est trompé de cible le pauvre homme, c'est pas les feujs qu'il fallait viser, c'est les bouffeurs de chattes. Il aurait dû écouter ce brave Röhm plutôt que le triste Himmler, le monde s'en porterait mieux, sieg heil ! Le "rouleau compresseur hétérocrate" comme disait Tony Duvert, fonctionne toujours et mieux que jamais, la vaginocratie vous châtre dès le foetus, il est vraiment temps qu'on leur renvoie leur merde à la figure, qu'on soit aussi méchant qu'eux. Je suis méchant ; ça me fait pas plaisir, mais... si, en fait ; tout compte fait oui, puisqu'ils ne m'ont pas laissé le choix, c'est mieux ainsi, autant se marrer. C'est un plaisir de te vomir dessus, pauvre adultophile de mes couilles. 
Et pourtant... si vous pouviez savoir les mégatonnes d'amour que j'ai en moi...

 Râh lovely ! Vous êtes libre ce soir ?

C'est si beau un garçon... c'est toute la lumière et toute l'espérance, c'est l'aurore, le Paradis... Dieu aime ceux qui aiment les garçon, je le sais, j'en suis sûr, cette conviction est toute ma vie, je me battrai jusqu'au bout pour l'imposer. Je connais la vérité aujourd'hui. Ce que je prenais en moi pour une tentation diabolique était la voix de Dieu en réalité. C'est l'Ami qui m'a aidé à comprendre, à réaliser... il fallait seulement que j'osasse tout remettre en question, leur ignoble morale sexophobe, hédophobe, pédophobe, leur hideuse métaphysique hétérocentrée, vaginocentrée, leur immonde culte de la Grande Femelle qui leur a complètement embrouillé le cerveau. Un tout petit effort en somme, il n'y avait qu'à ouvrir les yeux ; la beauté du garçon parle d'elle-même, elle crie la vérité, sans fard, sans rébus, sans rien, elle crie : je suis la vérité et elle a raison. La beauté du garçon a raison. Elle est la vérité. La question de la compatibilité avec l'islam ne se pose plus, c'est du blabla, on ne va pas concilier l'idée de quatre avec l'idée de deux plus deux, c'est la même idée exprimée autrement, l'islam tout entier est orienté vers l'exaltation de la virilité, le culte du guerrier, la répression de la féminité qui est la chose la meilleure et la plus nécessaire qui soit. Je crois sincèrement qu'à l'époque du Prophète, la puissance de la Grande Femme était déjà trop fort, il ne pouvait plus dire les choses trop explicitement sans quoi son message aurait été annihilé, mais les choses sont claires pour qui sait lire même pas entre les lignes mais lire les symboles tout court : "j'ai vu mon Seigneur sous la forme d'un adolescent imberbe", franchement qu'est-ce que c'est un homme qui voit Dieu sous la forme d'un jeune garçon ? sinon un adorateur du jeune garçon, un penthésiléen en somme ? Bon, je m'avance peut-être un peu, mais pas beaucoup, et d'ailleurs l'Intellect peut tout, même modifier le passé, et j'ai la puissance de l'Intellect en moi, alors ce qui est vrai a finalement peu d'importance, par rapport à ce qui est beau, intense, par exemple ; mais tout de même, l'islam, c'est essentiellement l'amour de la virilité, vous ne me contredirez pas j'espère bande de nazes. Et l'amour de la virilité portée à l'extrême, qu'est-ce que c'est en somme ? Penthésilée ! D'où cqfd.

  
Des musulmans qui se rincent l'oeil devant un yob tout nu, ça existe pas. T'es sûr ?
  
Les garçons, c'est ce qu'il y a de merveilleux. Penthésilée n'est pas un crime quoi qu'en pense le pékin de la rue dans son indécrottable bêtise hargneuse et anti-jeunes, Penthésilée est tout ce qu'il y a de noble et de respectable dans ce monde. L'espérance du monde réside dans les garçons et ceux qui les aiment vraiment, sans fausse pudeur ou vaines limites. Chaque jour, je remercie Allâh de m'avoir fait ce que je suis, de m'avoir fait aimer les yobs comme je les aime. Et je suis heureux d'oser le dire même si ça me vaut des putains d'ennuis (de toute façon, au point où j'en suis) et je suis heureux que ça vous rende furieux. Ouais, dis-toi bien ça enculé de ta mère : pour moi, baiser un yob de n'importe quel âge, c'est jamais un crime et ça me dérange pas - même si ça veut pas dire que je le ferais, j'ai mes âges de prédilection moi, c'est pas forcément les mêmes que ceux de mes amis. Mais l'idée de majorité sexuelle est une aberration contre nature et une insulte à Dieu, un blasphème, enfonce-toi bien ça dans le crâne, un jour elle sera abolie, jusque là on vous laissera jamais en paix. Si elle devait ne jamais être abolie, j'espère qu'une bombe atomique te pétera à la gueule après qu'un commando de salafistes armés aient violé tes gosses devant toi. Amîne. Comme tu le vois, je suis vachement ouvert au dialogue. Comme toi. Chacun son tour d'être dégueu intolérant et insultant, tu vois j'ai bien appris les leçons que tu m'as inculquées pendant mes années de misère. Qui sème le vent récolte ma bite dans le cul de ton fils. Allez, encore un :



Un garçon, c'est ce qu'il y a de plus merveilleux au monde ; de plus désirable, de plus épousable - au figuré parce que le mariage en général c'est de la merde, on s'en branle - de plus délectable, de plus adorable, etc. Dieu a créé le monde pour les garçons et les garçons pour ceux qui les aiment. Penthésilée n'est pas un crime ; interdire Penthésilée est un crime. Un crime contre l'Esprit et un crime tout court. Ceux qui ne le pensent pas ne devraient pas vivre. Si un gouvernement facho-penthésiléen se proposait de les anéantir physiquement j'y serais favorable. Je serais le premier à appuyer sur la gâchette ; je déboucherais une bonne bombonne de zyklon B pour fêter ça. Ennemis de Penthésilée, moralistes "protecteurs" de l'enfance autoproclamés, comme vous avez sans raison détruit ma vie et qu'il y a une justice immanente, je vous baise, vous et vos charmants bambins jusqu'à la dernière génération. Cela dit, croyez pas que je fasse une fixation sur les yobs mineurs non plus. Je suis éclectique. Il y a de la beauté à tous âges (enfin nan pas tous, mais je me comprends).
 Quatre petites fentes qui attendent ma visite, yeah


Ouais, ouais, c'est hyper marrant de se lâcher... rien à foutre... la maison Poulaga peut venir chez moi, de toute façon je fais rien d'illégal ; c'est pas interdit de rêver, même si on a des rêves bizarres. J'ai été super amoureux, tu sais ; amoureux et aimé... je le suis toujours ; je le resterai toujours ; je croyais que ce monde pouvait comprendre, qu'il y avait des hommes, des mâles... Mais nan, nan, nan, en dehors des amis de Penthésilée, y a que des fiottes. Tout le monde se plante sur la définition d'une fiotte ; c'est pas un mâle qui aime les mâles, non. Une fiotte c'est une femelle qui se prend pour un mâle, ou l'inverse, c'est un mâle qui pense comme une femelle, égalité, protection des faibles, attendrissement sur les femelles, conneries. Un mâle vit ses désirs, impose sa volonté, tout le reste passe après. C'est ça. T'es pas comme ça, t'es une fiotte, tu peux enfiler des kilomètres de chattes ça changera rien, t'es qu'une putain de femelle. Crève. Si c'est le cul des jeunes mâles qui te fait triper, défonce-le, ça c'est être un mec. Alexandre le grand, c'était pas un mec peut-être ? Et Röhm, le maître des S. A. ? C'était une fiotte ? Bien sûr, ça veut pas dire que la bonté et la compassion doivent être bannies, au contraire, seul le vrai fort peut se permettre le luxe d'être bon envers les faibles. A fortiori, la réciprocité, le désir partagé, l'échange de service, le don d'orgasme, sont appréciés et même recommandés avec tes partenaires quels qu'ils soient, éclate-les, éclate-toi, éclatez-vous, la camaraderie intergénérationnelle vaut mieux que le viol, l'échange et le partage ne sont pas contraires au mâle, donner du plaisir n'est pas fiotte. Croire qu'il y a un âge pour ça, si, parce que tu cautionne alors un système dans lequel la femelle maternelle monopolise l'énergie érotique du jeune mâle et le maintient dans la soumission pendant ses années les plus cruciales, grâce à la sublimation de son appétit orgasmique. Il est mignon le petit chéri à sa maman ; on dirait même pas qu'il a une bite ! Fiottasses schlingantes ! Et ça se prétend des hommes ! Mais allez merde, je reviendrai sur tout ça plus tard. Maintenant je m'amuse. Allez, c'est ça, indignez-vous, fiottasses ! Quand un homme ose dire la vérité, c'est toujours l'indignation dans le marigot ; branle-bas dans Landernau ! Crevez crevures ! Ce monde vaut rien. Ce monde où la quintessence de la beauté mâle est conditionnée à jamais se servir de sa queue à part pour pisser pue vraiment trop de la gueule, faut la lui défoncer. Allez ! Ce monde te débecte autant que moi ? T'as des envies de meurtre de masse ? Réalise-les ! Fais-leur la fête, fais la fête ! Un des premiers jeunes mâles que j'ai initié au plaisir, justement, appelait ça "faire la fiesta", il avait raison, c'était une vraie fête, les cons comprendront jamais ça, donc tu peux économiser du temps, pas la peine d'expliquer, fais-les plutôt enrager au maximum, qu'ils aient des raisons de te haïr. Il faut pas seulement niquer, il faut niquer ce monde. Un onze septembre par jour. Tu t'emmerdes, ta télé est en panne, ton lover boy est entré au lycée ? Pas grave. Trouve-toi deux ou trois flingues, une Kalach, quelques grenades, une ceinture d'explosifs pour le bouquet final et un caméscope ; entre dans une école, prends une classe de collège en otage, oblige-les à partouzer, avec le sourire - tu recommenceras autant de fois que nécessaire - et filme, filme, t'es meilleur qu'Orson Welles ; poste sur ton site de kp préféré et fais tout sauter, t'auras fait une b.a. avant de crever, les gamins te seront reconnaissants plus tard (quand ils auront fini leur thérapie), ça leur fera un joli souvenir de leur jeunesse, ils en auront au moins profité une heure, pas comme moi bordel. L'acte surréaliste élémentaire, tu te souviens ? Toutes ces fiottasses droit-de-lhommistes qui usurpent le titre d'intellectuels ont oublié combien la violence peut être esthétique, la violence sexuelle y compris. Ce que je te propose là est encore mieux que l'acte surréaliste élémentaire, c'est l'acte hyper-surréaliste sophistiqué et ultra jouissif, le potlatch, le vrai. Y en a pas d'autres, puisqu'on est arrivé au point où seule Penthésilée détient encore une puissance "subversive", c'est-à-dire de redressement en fait car la vraie subversion c'est la soumission à la morale matriarcale, vaginocratique, à la Grande Femme castratrice, on est arrivé au point où seule la libération sexuelle du jigé peut encore prétendre incarner la libération de tous, c'est-à-dire de tous les mâles en fait, puisque les femelles n'ont pas besoin d'être libérées mais enfermées

- à part quelques-unes qui sont d'une autre essence comme Marie, mère du Verbe, dont mes deux plus jeunes filles ; elles c'est pas pareil, ce sont des anges, je sais qu'elles comprendraient pas leur sale enculé (au propre comme au figuré) de père, mais elles ont pas mérité toute cette haine ; mais hélas ce monde est cruel, elles sont prises malgré elles dans un jeu qui ne fait aucun cas de leur pureté et de leur gentillesse, qui fera d'elles des ennemies du genre mâle ou des ennemies de la société, des mortes en sursis comme moi, et sincèrement j'espère pour elles la deuxième solution, mais ça veut dire qu'elles vont souffrir comme moi, comme tout être humain qui conserve sa dignité dans un monde de pourritures, enfin toute façon elles sont pas censées lire ça, donc je vous embrasse mes chéries, mais sorry, je roule pour mes frères, vive les mâles et vive Penthésilée ! soyez des Amazones ou bien maudissez-moi, que le Dieu des garçons vous garde ! -

et donc, pour casser cette logique de subversion, il faut être plus subversif, restituer sa dignité sexuelle au jeune mâle castré, lui recoudre ses burnes et lui apprendre à s'en servir, point final, c'est le seul acte qui ait du sens aujourd'hui, crevez crevures. Enfin, je veux dire à part le meurtre de masse, mais perso le sexe m'éclate beaucoup plus que le meurtre, acte assez vulgaire et limité en fait. Non, croyez-moi, ce monde est devenu trop de la merde, on a atteint un point de merdicité dont on ne reviendra plus à part en niquant ces chiennes qui s'appellent aujourd'hui l'éducation, la morale, etc. Trop de la merde, il faut nettoyer cette merde, oui, je suis rien qu'un nettoyeur en fait. C'est l'idée que le sexe (entre mâles) est impur qui engendre l'impureté, et cette idée est le fait de la Grande Femelle qui cherche à monter le mâle contre son propre sexe - vous remarquerez qu'en fait c'est toujours le sexe du mâle qui est impur, violent etc., le sexe de la femelle lui est angélique, quelle impudence ! - c'est donc cette idée qu'il faut détruire pour purger l'impureté. Le sexe des jeunes mâles est le seul enjeu digne d'un mâle, point à la ligne. Les contestataires, au lager ! C'est ça la bonne méthode. Et oui, vous pouvez me buter, ça changera rien au fait que j'ai raison, ça me fera même pas chier au point où j'en suis. Cent autres prendront le relai. Vous avez déjà perdu, croupissures vaginales !

La beauté féminine est un mythe, il n'y a de beauté que mâle


Je suis un anarchiste de droite, politiquement je veux dire. Anarchiste de droite, c'est vraiment le pied. Bloy, Bernanos, Céline et Moi... mais je suis plus méchant qu'eux tous. Je suis super-intelligent. J'ai lu tous les philosophes, étudié toutes les théories scientifiques, personne peut me niquer ; c'est la vérité, j'ai fait des intégrales de chemin et traduit des traités de métaphysique orientale, si l'intellect était valorisé tous les hommes de ce temps devraient se prosterner devant moi, enfin presque ; pas Saunders MacLane qui est un putain de grand mathématicien que j'ai trop kiffé son oeuvre, ni Abdul-Baqî Miftah, le dernier commentateur du Fuçuç el-Hikam d'ibn Arabî ; sans oublier le divin Stevie (Wonder, vous aviez compris), pour des mecs pareils, total respect, ceux-là sont dispensés de prosternation, je suis même prêt à leur accorder les mêmes droits que moi, mais qu'ils viennent pas dire du mal de Penthésilée devant moi où je leur nique la gueule comme aux autres. Y a des limites quand même. Le génie est tout ce que je respecte. Le génie et ma queue, puisque ma queue est la source de mon génie. Une partie de l'intelligence du mâle se trouve dans la queue, la mienne en particulier, mais fais-moi pas chier, je développerai ça plus tard in châ Allâh. Ouais, je suis un putain d'anarchiste de droite, mais imprégné de Guénon, Evola - mon théoricien fasciste préféré - et Tony Duvert. Ajoutez un peu de Nietzsche, secouez bien et vous aurez mon code génétique complet. Bien sûr je ne serais pas tout à fait ce que je suis sans MacLane, Von Staudt, Vâlsan, Plotin, ibn Arabî, Henry et quelques milliers d'autres, mais en gros je suis né de l'accouplement monstrueux, dans les limbes de l'anti-monde, entre Evola et Tony Duvert. Je suis enragé. Surhumain. C'est l'intellect qui fait le mâle, et moi j'ai la puissance de l'intellect. Un mâle a tous les droits, ou devrait les avoir. Je les aurais si je n'avais pas à contrer les menées subversives de la Grande Femelle. Si un mâle estime qu'il est de son droit et de son devoir de défoncer le cul des jeunes mâles, c'est son affaire, personne a le droit de l'en empêcher, faut laisser faire ; il a ses raisons métaphysiques, toi pauvre pékin t'es censé dire amen et t'effacer, c'est tout. Quoi, c'est traumatisant pour un jeune mâle de servir de femelle à un surhomme authentique ? Permettez-moi d'en douter, que je sache aucune étude scientifique objective n'a jamais démontré cette imbécillité grotesque mais toute façon si c'est le cas tant mieux, le traumatisme forge le caractère, à vouloir protéger vos enfants de la dure réalité du monde vous les amollissez, pas étonnant que les mâles soient en voie de disparition et que les fiottasses pullulent comme jamais, un bon traumatisme est excellent pour l'éducation, si t'es un mec, apprend à te défendre, seuls les plus forts survivent, c'est la loi et c'est bien, et quoi qu'il en soit je vous baise. Qui a dit que la sécurité mentale d'un yob lambda appelé à devenir probablement rien du tout valait moins que le désir d'un surhomme authentique ? C'est la Grande Femelle, encore, qui a décrété ça et tous les pseudo-mâles de ce monde de fiottasses gluantes ont dit amen comme d'habitude, mais moi je les baise, eux et leurs yobs exquis, allez viens à moi petite fente sur pattes, viens et apprend à connaître le mâle, apprendre à survivre dans un environnement hostile est ce qui forge le caractère viril. La virilité, y a que ça de beau. Anarchisme de droite, version hyper-nietzschenne et penthésiléenne, vive l'éducation virile à coups de bite dans le cul, vivent les écoles-bordel du futur. Staline, Hitler, Franco, Pinochet, Napoléon, César, Alexandre, tous mes frères, le mâle fait ce qu'il veut et l'intellect fait le mâle, moi j'ai l'intellect : chaque jour au petit déjeuner, je bois une tasse de bon café hyper-sucré avec beaucoup de lait et une cigarette - le tabac est excellent pour la santé mentale, je méprise le tyrannique lobby anti-tabac presque autant que l'immonde, ignoble et très puant lobby anti-Penthésilée - , je résous un système d'équations aux dérivées partielles non linéaires couplées et je commente un passage des Ennéades de Plotin ; tu peux en faire autant ? Alors dégage, minable sous-produit de l'ochlocratie vaginolâtrique moderne, place au vrai mâle, à l'Intellectuel, le mâle a tous les droits, entre autres celui de posséder les jeunes mâles comme bon lui semble, ad majorem Dei gloriam, et toute façon ça peut que leur faire du bien, l'Intellect rentre par le cul, tu sais pas que ma bite est un concentré d'intelligence conceptuelle, mais moi je t'encule, je t'encule et je t'encule. Un homme comme moi, de mon niveau je veux dire, devrait être dispensé de se soumettre à toute loi qu'il n'a pas lui-même approuvée au préalable, c'est une évidence que personne ne devrait avoir le droit de contester sous peine de servir de repas à mes fauves domestiques, franchement ça servirait à quoi d'avoir fait des intégrales de chemin et traduit de la métaphysique orientale, d'avoir tout lu tout étudié et tout compris mieux que tout le monde (enfin, pas que MacLane et Miftah mais t'avais compris) si c'était pour se soumettre à des lois débiles pondues par des handicapés mentaux de toute façon manipulés par la Grande Femelle qui poursuit inexorablement son but, depuis des siècles, de destruction de toute la culture virile ? Sérieux, même un crétin dans ton genre doit pouvoir comprendre ça, sinon je te le ferai rentrer par le cul, pétasse. Ouais. En tant que surhomme, j'ai parfaitement le droit de décréter que défoncer le cul des jeunes mâles est la seule activité vraiment digne d'un gentleman. Je suis un gentleman. Et je te baise, t'as même pas idée à quel point. Les gens de gauche, race la plus haïssable sur terre, devraient se faire tatouer une cible sur le cul. L'égalité c'est la mort, égalité et liberté sont des valeurs absolument incompatibles et moi je suis pour la liberté, la liberté du mâle s'entend. Le féminisme c'est la mort, l'hétérosexualité c'est la mort, l'égalitarisme c'est la mort, mort à la démocratie, la majorité sexuelle est un blasphème, vive la vie, écoles-bordel pour les garçons, sexe, violence et cannabis dès la maternelle, que les plus forts survivent, et je vous baise tous, merci. Me ne frego ! Anarchiste de droite, islamo-fasciste et penthésiléen. Le pied total ! Je m'admire, tu peux pas savoir. Crevez crevures.

 Tu préfères par devant ou par derrière ?


Je sodomise allègrement tous ceux qui luttent pour un monde plus juste, plus moral, plus démocratique et une enfance plus asexuée. Mon estime et mon admiration va aux tueurs à gage ou en série, aux terroristes de tous bords, aux dictateurs, aux escrocs de talent, aux mafieux, aux jeunes délinquants des cités, à tous ceux qui vendraient leur mère pour le privilège d'écraser la gueule du voisin altermondialiste, ou juste pour le plaisir, aux psychopathes, aux pervers toute catégorie, ainsi qu'aux mathématiciens et aux artistes de génie, à tous ceux qui ont gagné par eux-mêmes le droit de s'appeler des hommes, à tous ceux qui élèvent le niveau de l'humanité ou nuisent d'une manière ou d'une autre à la société bourgeoise. L'inégalité, la domination, l'exploitation sont une bonne chose, c'est vrai ; mais l'intelligence, le génie, méritent aussi le respect, ce n'est pas seulement la force brute, physique, que j'exalte, la vraie virilité est intellectuelle. La supériorité, quelle qu'elle soit, est belle. L'important est de reconnaître l'inégalité, la supériorité, et de traduire cette reconnaissance en droits. L'homme supérieur a plus de droits, c'est logique. Je suis capable de reconnaître toutes les formes de supériorité et je les aime toutes. En fait, il n'y a pas plus oecuménique que moi (eh cul, mais nique !). Un jeune poète des cités, musclé, basané, gaulé comme un dieu, superbe machine virile parangon d'érotisme, réacteur à testostérone, capable de faire un salto arrière comme je résous une équation, ça m'émerveille autant qu'un MacLane réécrivant toutes les mathématiques avec des petites flèches et des diagrammes commutatifs. Le diagramme commutatif est le salto arrière, le moonwalk des mathématiques. L'art est toujours beau. Que ton génie soit dans ta queue ou dans ton encéphale, je te respecte si tu as quelque chose à dire. Avec moi, toute supériorité serait dûment reconnue, appréciée, non persécutée comme c'est le cas dans la société mâlophobe, et son détenteur pourrait faire ce qu'il veut, vous ne devez pas avoir peur de moi, je suis une force positive pour l'humanité authentique, la loi devrait être à la tête du client, c'est une évidence absolument irréfragable, à quoi ça servirait sinon d'avoir fait tant de métaphysique ? Pour approuver et défendre la morale des esclaves ? La morale est l'ennemie de l'humanité mâle, la morale est l'arme préférée de la Grande Femelle, te laisse pas avoir mec. D'un autre point de vue - car tout est une question de point de vue - y a la morale des faibles et la morale des forts, la morale des faibles est excellence... pour les faibles, le crime de ce monde est de vouloir l'imposer aux forts, il faut que ça change, c'est dans ce but que pratique le seul terrorisme dont je sois capable, le terrorisme intellectuel, et aussi sexuel, un peu. La morale des forts est simple : tout est moral pour le fort. Force physique ou cérébrale. Comme le génie. J'avoue que je respecte autant le fait d'avoir inventé le diagramme commutatif que le fait d'avoir un cul de nymphe idéal pour y ranger ma bite, la nature du génie importe peu, je t'assure que dans le monde futur dont je serai calife, toute forme de génie sera rétribuée en privilèges calculés sur base de mon admiration, l'admiration est la plus haute faculté de l'esprit, et l'égalité la pire des injustices. Un beau mot, privilège. Abolir le droit, rétablir les privilèges, ouais, ça ça me plaît. T'inquiète, j'ai jamais dit que je serais le seul privilégié, je m'emmerderais trop vite. Je privilégierai tous ceux qui le méritent, par leur génie ou la taille de leur bite, je serai juste, mais quant à ceux qui ne méritent rien, ils n'auront rien, à part mon poing sur la gueule, ça me semble un deal honnête. Approchez, les mâles, et n'ayez pas peur, le surhomme ne vous veut aucun mal. Quiconque peut me démontrer sa capacité d'apporter de la beauté dans le monde sera rétribué à hauteur de son mérite, c'est ça la vraie justice, la justice des forts. Mais il faut que les jeunes mâles comprennent que Dieu les a créés essentiellement pour donner du bonheur aux vrais hommes. La seule vraie loi est la loi du désir. Le surhomme est sévère mais juste. Penthésilée vaincra. Si ce que je dis te scandalise, c'est que je n'ai pas perdu ma journée. Je vous baise tous, alleluïa. Me ne frego !

Mais ouais, t'es bonne !

Va te faire enculer. Je respecte toutes les formes de génie, je peux m'extasier devant une belle théorie mathématique comme devant un beau cul de yob black, c'est ce qui fait ma supériorité et qui me donne le droit, nan le privilège de te casser la gueule et de venir chez toi niquer ton fils à domicile si j'ai envie. Mon inexprimable supériorité sur toi, pauvre merde, vient du fait que je suis aussi à l'aise dans un vestiaire de jeunes sucker, euh, soccer boys après un match que dans l'espace riemanien des antiivolutions de première espèce ; j'adore les antiivolutions de première et même de seconde espèce, c'est presque aussi bandant qu'un cul de yob black, Cartan, leçons de géométrie projective complexe, voilà un mec. J'ai plus de droits que toi parce que je comprends plus de choses que toi, c'est pas de l'orgueil c'est de la logique élémentaire. Essaie un peu de te hisser jusqu'à mon niveau ou bien ferme ta gueule, avant que je te la pète. Moi aussi j'ai du génie, et dans cette société vaginocratique de merde ça m'a jamais valu que des emmerdes. Je demandais pas grand-chose pourtant. Tout ce que je voulais c'était aimer et être aimé comme tout le monde, pouvoir partager un peu de tendresse avec des jeunes mâles bien balancés et compréhensifs. Vous m'avez dit que c'était très méchant. J'ai pas compris pourquoi, mais je me suis fait une raison. Donc j'ai décidé de devenir vraiment méchant. C'est dur, mais on y prend goût. Vous m'avez pas laissé le choix, enculés, de quoi que vous vous plaignez ? Un peu de tendresse, c'est tout. Mais nan, crève dans ta merde, t'auras rien. Et la culpabilité en prime ; connards, vous savez ce que c'est d'être condamné à se sentir coupable pour des trucs qu'on a même pas choisis ? Votre culpabilité, vous pouvez vous la mettre où je pense, voilà. Me ne frego. Et ça me troue le cul de penser qu'il y a des gens pour qui le monde actuel est immoral. Connerie. J'en reviens pas. Le monde a jamais été si plein de morale, la morale est un poison et le monde n'a jamais été aussi empoisonné. On crève sous la morale. La pire morale, celle qui condamne la plus noble forme d'amour, celle qui condamne Penthésilée. Trop de morale et pas assez de spiritualité. Contrairement à ce que croient les imbéciles, la morale et la spiritualité ne sont pas amies, elles sont presque toujours ennemies, or moi je méprise la morale et je respecte la spiritualité. Plus spirituel que moi, tu meurs. D'ailleurs, c'est simple, moi quand je nique un yob, je prie ; c'est la forme d'adoration suprême.

Vous avez dit une vie de chien ?

Houellebecq est un con. Un con et un minable. Conformiste putassier qui se croit viril et irrévérencieux. Extension du domaine de la lutte, tu parles ! Quelle extension et quelle lutte ? Les gonzesses, encore et toujours ; débile. L'extension du domaine de la lutte, c'est moi, c'est ici, c'est Penthésilée. Y a vraiment rien de viril à aimer les gonzesses, à être à genoux devant le trou puant qui le sert de sexe plutôt que devant le flamboyant appendice du jeune mâle (black si possible). L'accès au sexe du jeune mâle est le seul combat digne d'un homme. Voilà la vérité. Et Houellebecq théologien, alors ! Y a-t-il plus ridicule ? Ce connard de Houelle pue-du-bec, qu'est-ce qu'il connaît à l'islam ? Il a lu ibn Arabî et Avicenne dans le texte ? L'islam est la religion la moins con parce que la plus intellectuelle, mais les musulmans sont des pitres en général, ça c'est vrai. Moi je kiffe les derviches tourneurs, le Masnavi, et Miftah : ça c'est un penseur, un vrai, un homme, total respect. C'est ça que j'aime, et aussi quand les salafistes fous organisent des exécutions dans des stades, ouah, les jeux du cirque comme chez les Romains, quelle belle reconnaissance de la continuité entre les civilisations romaine et islamique, mais bon, leur pensée est indigente et foncièrement occidentale, normal vu qu'ils sortent du cul de la CIA, confiez-les Moi, j'en ferais des vrais hommes islamo-fascistes et penthésiléens comme Moi, y a pas mieux. Aucune spiritualité ne comporte plus de mystères, plus de secrets, plus de possibilités interprétatives, plus de folie, plus d'érotisme, plus de Mille et une nuits et d'Illuminations mecquoises, le reste je m'en fous. La morale islamique ? Y a pas de morale islamique, d'ailleurs y a pas de morale du tout, et s'il y en a une je la baise, voilà. Anarchisme de droite. Me ne frego. Spiritualité, volonté de puissance et fellation réciproque. J'adore trois choses : la métaphysique, les équations différentielles et le cul des jeunes mâles. Je suis heureux qu'il y ait des gens persuadés que ça fait pas bon ménage, parce que du coup je peux les massacrer sans éprouver de culpabilité, sentiment assez gênant, comme les ballonnements d'estomac après un bon repas. Je suis l'Intellectuel dans le temps et l'éternité. Votre société de merde, esclave de la Grande Femelle, m'a déclaré la guerre, qui est la seule hygiène de vie comme disait l'autre. Tant mieux. Je suis plus intelligent que toi et je te baise, t'as même pas idée. Je dis volonté de puissance, car la puissance est belle c'est vrai ; cependant c'est pas vraiment la volonté de puissance qui me motive, je suis pas un feuj moi, c'est la volonté de beauté, c'est bien plus mieux. La beauté mâle et noire surtout, évidemment, je suis un homme de goût. J'ai décrété qu'il était temps de faire comprendre aux jeunes mâles que leur principale mission sur terre était de donner du plaisir et de l'énergie aux vrais hommes. Si t'es pas d'accord tant mieux, j'ai le droit de te baiser la gueule du coup. C'est comme ça que les choses doivent fonctionner. Dieu est d'accord avec moi, je le sais, il me l'a dit. D'ailleurs je vais te confier un secret, tout ce que je dis est révélation. Si tu doutes, va niquer en Enfer, connard. Penthésilée vaincra, la virilité vaincra, la beauté mâle vaincra, et je jouirai d'elle à l'infini comme de juste. Me ne frego. Où que tu sois, quoi que tu fasses, n'oublie jamais que je te baise la gueule.


 True love

 Ouais je suis cinglé, zinzin, maboul, psykopat, bravo, t'as tout compris, bingo. Hyper-intelligent et cinglé : ça va bien ensemble. Mais c'est vous qui m'avez rendu cinglé, tas de morves pourries, vous avez qu'à vous en prendre à vous-mêmes. Trop de souffrance peut rendre cinglé, trop de tristesse, d'amertume, peut rendre cinglé, c'est un fait, et vous m'avez torturé pendant des années, pire, vous m'avez obligé à me torturer moi-même, à croire que j'étais mauvais, alors que j'avais seulement besoin d'un peu de tendresse virile (et d'une bonne queue black dans la gueule aussi), vous êtes fiers, minables salopes ? Moi je le serais pas à votre place ; torturer ainsi sans autre raison que votre orgueil de dégénérés hétéros (pardon du pléonasme) un garçon innocent et en plus génial, c'est vraiment trop cruel, je m'étonne que ça m'ait pas rendu plus méchant. Franchement, allez au diable, vous, votre morale et votre raison. Je vous baise, vous et vos charmants yobs, c'est vraiment tout ce que vous méritez. Incitation à la haine raciale anti-hétéro. On m'ôtera jamais de l'idée que l'hétérosexualité est pas naturelle, tous ces yobs exquis, jolis petits culs blacks, blancs ou bruns qui demandent qu'à être pris par un mâle, qui supplient, et qui n'ont d'yeux que pour les gonzesses - mais qu'est-ce qu'ils leur trouvent, bordel, expliquez-moi ; c'est tellement moche une meuf ! - c'est injuste, c'est un énorme et scandaleux gâchis de bonne énergie mâle, c'est hideux, c'est la faute de la Grande Femelle, elle les a tous intoxiqués, c'est tout ; faut les guérir, ma queue devrait être déclarée d'intérêt sanitaire public. Nan, c'est pas normal tout ça, Dieu l'a pas voulu, merde. D'ailleurs sinon, pourquoi que les mecs en prison ils finissent toujours par s'enculer entre eux ? C'est que c'était en eux, voilà, c'est tout, la tyrannie des femelles les empêchait juste de s'en rendre compte. Pour comparer, si on enfermait un boylover pendant des années au milieu d'un tas de gonzesses, vous croyez qu'il finirait par les niquer, qu'il deviendrait hétéro ? Moi je suis sûr que non, c'est bien la preuve que Penthésilée est dans le programme génétique de tous les mâles, dans leur substance, l'hétérosexualité est une pièce rapportée, un artefact, et de toute façon c'est de la merde. Pour imaginer à quel point ça me débecte, prenez le dégoût que je vous inspire, élevez-le à la puissance l'infini, et puis encore, et encore, à l'infini, vous aurez une vague idée... du dégoût que vous m'inspirez, vous et votre culture hétérosexuelle de merde. Bien sûr j'ai pas plus de respect pour les homos modernes, parodies d'hétéros, des mâles qui se prennent pour des gonzesses, c'est vrai qu'ils méritent en partie le mépris dont vous les abreuvez, mais c'est à force de vous imiter, qu'ils sont devenus si méprisables, à force de se vautrer dans l'adoration de la Grande Femelle, le mâle qui se prend pour une gonzesse vaut pas mieux certes que celui qui aime les gonzesses, c'est la même merde, la même trahison des valeurs viriles. En fait c'est les Grecs qui avaient tout compris, les Grecs et Abu Nuwâs. Ouais, ça c'étaient des mecs, penthésiléens, amoureux du cul des jeunes mâles comme il se doit, mais vous inquiétez pas les gars, je suis méchant, hargneux et éveillé, j'ai éventé les ruses de la Grande Femelle, je vais rendre leur fierté aux penthésiléens ; on aura plus le droit d'avoir honte d'aimer les yobs, on s'en glorifiera, l'humanité future me sera reconnaissante. Dans chaque ville j'aurai une rue à mon nom, et ce sera la rue des bordels de jigés, yeah ! En fait, je vais rendre leur fierté à tous les mâles. Je sais, ça fera mal, mais il faut. Camps de reproduction pour les femelles et prostitution généralisée des jeunes mâles. C'est à ce prix que l'humanité pourra de nouveau se regarder en face. Ils auront sûrement ma peau d'ici peu, mais mon esprit restera, c'est tout ce qui compte. Je les baise. Grâce à moi, le Tiqqun est en marche ; ça veut dire redressement, vous saisissez ? Redressement, haha ! c'est le cas de le dire, je vais redresser (la partie la plus noble de) l'humanité, en tout cas y contribuer. Eh, t'es un yob, tu lis ces lignes ? rejoins le mouvement mon gars, Penthésilée est l'avenir. Allez, le surhomme compte sur toi. Dieu aussi. Bien sûr que je crois en Dieu, comme la plupart des yobs baisables ; ils croient presque toujours en Dieu, voire en Allâh, moi aussi du coup, normal. Du reste c'est pas un hasard, car y a pas de hasard, si dans la langue des maîtres (les mauvais maîtres actuels, pouah) Dieu se dit God, gode, ouais, allez les yobs, prosternez-vous devant le divin gode, c'est tout bon ! Gode save the king, hahaha ! On rigole ! Nan, en fait on rigole pas, la vie dans ce monde de merde est triste, triste, moi c'est ma colère qui me sauve, c'est tout. C'est pour ça que, je le redis encore une fois, je vous emmerde, je vous emmerde, je vous emmerde et je vous baise la gueule. Avec la bénédiction divine, amîne.



 I love you so much !!!

Mais la vérité, c'est que la vie dans ce trou à rats de monde gouverné par la Grande Femelle est triste, effroyablement triste. Quoi qu'on fasse, elle manquera toujours de sexe, de yobs à niquer, de joie. Finalement, seul l'Ami me console de la douleur d'exister - d'exister dans ce monde anti-penthésiléen, anti-jigéen. Crevez crevures. Seul l'Ami me console, car lui seul me comprend, ouais. Les yobs, c'est ce qu'il y a de merveilleux dans ce monde, c'est la seule chose qui compte, c'est la justification. Les Noirs surtout. Oh, croyez pas que j'aime pas les blonds, d'ailleurs y en a pas mal sur les photos, vous avez remarqué. Mais depuis toujours, je suis infiniment plus sensible à la beauté des Noirs, c'est un mystère, y a rien à faire. Elle est tellement plus troublante, plus... énigmatique ! Je finis par me dire que la vraie beauté est noire ; en tout cas, il me semble que pour un Blanc comme moi il en va nécessairement ainsi, car les contraires s'attirent. Pas le masculin et le féminin, qui ne sont pas de vrais contraires, car la femme n'est qu'un homme incomplet, elle est même pas humaine dans beaucoup de cas. Je parle de la merveilleuse, la sublime complémentarité de l'homme et du jigé, du noir et du blanc. Un jour que j'oublierai jamais dans ma vie est celui où j'ai embrassé l'Ami pour la première fois ; en haut de l'escalier, dans sa chambre d'enfant, un baiser chaud, brûlant, délicieux et risqué, à travers lui j'ai vraiment eu l'impression de mettre ma langue dans la bouche de tous les yobs africains de la terre, car il était vraiment le plus typique, le plus canon. Après, je lui ai demandé s'il m'aimait toujours et il m'a répondu oui, sans hésiter ; ce jour-là, la réalité a dépassé le rêve. T'es pas un homme tant que t'as pas vécu ça, ouais. J'ai bu tous ses fluides (enfin, les purs), mais aussi ses paroles, si douces, si spontanées, des paroles que seul un yob pouvait me dire. Vous me jugez, trous du cul, mais lui m'aime et me comprend, c'est quoi votre problème ? Vous me blessez et lui me réconforte ; chaque fois que j'étais abattu, désespéré - par votre abyssale connerie - il était là pour me remonter et me ranimer. Et c'est ça que vous me reprochez, j'arrive pas à croire que tant de connerie soit possible ! Les anti-Penthésilée, c'est vraiment de la merde. Faut les écraser avec le talon comme de la vermine puante, et changer de godasses après, c'est tout ce qu'il y a à faire. Vous m'aurez peut-être, mais le combat fait que commencer ; vous n'êtes pas près de vous débarrasser de Penthésilée, vous n'en avez pas fini avec nous, car notre nom est légion ! Nous sommes les vrais moudjahidines, notre combat n'aura pas de fin. J'ai dit ce que j'avais à dire, je me sens mieux. Pour finir avec classe, je vous baise, je vous baise et je vous baise ; Penthésilée vaincra. Me ne frego !

  
 Une belle brochette ! Râh lovely !